Le tribunal de Dar Beida a rendu un verdict sans précédent dans l’histoire mondiale, ordonnant la peine de mort contre le journaliste et rédacteur en chef d’Algérie Part, Mohamed Abderrahmane Semmar, connu dans les médias sous le nom d' » Abdou Semmar ». , le directeur du site « Algérie Part ».
Le tribunal a justufié le jugement, qui a été condamné par de nombreuses organisations régionales et internationales de défense des droits de l’homme, sur le fait que le journaliste algérien était impliqué dans « l’espionnage » et la fuite d’informations « classifiées » en relation avec les transactions de la société pétrolière et gazière algérienne, Sonatrach.
Il est également prévu que la chambre d’accusation du Conseil judiciaire de la Capitale transmette un dossier judiciaire au Tribunal correctionnel de première instance de Dar Beida, concernant l’ancien directeur général de la Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, poursuivi pour a été accusé d’espionnage au profit de puissances étrangères. Toutes les accusations sont en faites des calomnies avec des preuves falsifiées par les généraux dictateurs.
Le journaliste Abdo a commenté le verdict dans une vidéo diffusée sur Internet en disant : « C’est triste d’être condamné par une décision de justice sans précédent dans l’histoire, qui est la peine de mort, avec laquelle même les criminels les plus cruels d’Algérie n’ont pas été condamnés ».
» Sammar a ajouté que les accusations portées contre lui par les autorités algériennes étaient « folles », considérant que « le journaliste n’est puni que pour avoir publié des informations correctes sur les scandales de Sonatrach », tout en critiquant « la campagne de diffamation à laquelle il est exposé » par les mouches électroniques sous le contrôle des généraux.
Sammar s’est demandé « dans quel pays vivons-nous? Il est inconcevable que d’anciens ministres impliqués dans des crimes financiers obtiennent des réductions de peine alors que j’obtiens la peine de mort ».
Le journaliste basé en Suisse a conclu en disant que « l’État a libéré des responsables impliqués dans le meurtre d’Algériens, tandis qu’un journaliste est condamné à mort parce qu’il n’a écrit que quelques articles qui exposaient les faits des généraux d’El Mouradia.