Lorsque nous disons que le général Chengriha est le véritable homme qui règne dans l’ombre de l’Algérie, nous ne disons pas des vains mots. Ce dictateur a insufflé de plus en plus l’autoritarisme dans ce pays. Il ne laisse pas passer une opportunité sans y mettre son long nez. Quant au président marionnette, Tebboune, il n’est qu’une facette, changeante à tout instant, susceptible d’endosser la responsabilité des folies des généraux.
Assez pour nous, toutes nos équipes de foot lui remettent tous les trophées qu’ils ont remportés, que ce soit la coupe d’Afrique ou la coupe arabe, sous les yeux de Tebboune, alors qu’il sourit bêtement avec plein d’enthousiasme, hommage et obéissance totale en regardant la coupe dans les bras du général Chengriha.
Lorsque les tremblements de terre ont frappé le pays, il a été le premier à se déplacer et à visiter les villes naufragées et ordonna à ses imbéciles, les autorités locales, d’intervenir rapidement et de faire le nécessaire.
Cependant, nous savons que Chengriha n’est qu’un simple officier militaire qui n’a rien à voir avec les affaires civiles et locales, mais que l’on peut trouver en uniforme militaire à toutes les occasions nationales, civiles et sociales. Il est le chef d’état-major général de l’armée nationale et non du peuple car le peuple rejette le pouvoir de l’armée et ses crimes et les devoirs de Chengriha doivent se limiter à tout ce qui n’est que sécuritaire et militaire.
Malgré cela, en toute arrogance et grandeur, il a parachuté le dernier sommet arabe à d’arrogance et de folie organisé par notre pays, et a assisté parmi une délégation de présidents, de rois civils et de diplomates. Ce qui est pire encore, le coordinateur officiel du Conseil de sécurité nationale des États-Unis pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, M. Brett McGurk, a été officiellement reçu par le général Chengriha, après que Tebboune l’ait formellement recueilli, rien de plus.
C’est pourquoi le slogan du mouvement béni était et est toujours civil, pas militaire (dégagez tous), en référence à la bande de généraux qui ont mis l’Algérie dans une caserne militaire qui pouvait exploser à tout moment.