Chaque fois, un de nos responsables corrompus nous fait l’une de ces sorties acrobatiques médiatique, que ni la raison ni la logique ne peuvent croire. Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a confirmé que l’Algérie a réalisé de nombreux acquis en matière de protection des droits de l’enfant, traduits par des indicateurs positifs pour l’atteinte des Objectifs de développement durable à l’horizon 2030 dans ce domaine. Dans ce domaine, nous avons atteint la première place au Maghreb et la troisième en Afrique au cours de l’année en cours. Bien sûr, ces statistiques sont fallacieuses et en contradiction avec la réalité, comme beaucoup d’erreurs et de faux faits promus par le régime des gangs. La plus célèbre d’entre elles est que nous vivons mieux que la Suisse européenne, et que la Chine demande à l’Algérie de lui fournir des informations confidentielles sur son expérience réussie dans l’exportation de des plats de cuisses de poulet.
Cependant, j’ai une question pour ce petit fonctionnaire. Savez-vous quelque chose sur ce qui arrive à nos enfants mineurs à l’intérieur des centres de détention des généraux, comme le viol et l’attentat à la pudeur sans distinguer si le mineur est un garçon ou une fille ?
Il existe même des statistiques indiquant que les enfants de sexe masculin sont plus susceptibles d’être violés dans les prisons militaires. La chose qui confirme la propagation de l’orientation sexuelle anormale parmi les généraux et leur entourage. Et ce qu’ils pratiquent l’homosexualité et la pédophilie dans leur caserne. Et ils forcent même les soldats à commettre des indécences entre eux par des ordres militaires supérieurs. Et les généraux choisissent leurs victimes par les garçons à leur guise.
Et la plus grande preuve en est ce qui est arrivé à l’enfant Saïd Chetouane au poste de police, ainsi qu’un autre enfant mineur nommé Omar, et d’autres enfants qui ont été victimes du Hirak béni.
Même dans notre société normale, nos tribunaux regorgent d’affaires de mineurs victimes de viol sexuel. Le nombre de cas de viols mineurs au cours de cette année s’élève à près de 100 000 cas de viols et de harcèlement sexuel. De quels droits des enfants ce pervers parle-t-il ? Nous avons eu peur pour nos enfants même au sein de nos maisons.