Je suis stupéfait de l’Algérie, mon cher pays, tes ressources débordent sur la terre et sur la mer, et tes richesses suffisent à faire vivre dans le luxe et la prospérité tous les peuples d’Afrique du Nord, mais, grâce à tes bienfaits, les fils des traîtres sont devenus des maîtres, contrôlant le peuple opprimé à leur guise. Ils humilient le citoyen, insultent sa dignité et lui font goûter l’amertume et la douleur. Et si quelqu’un s’y opposait et dit un mot de vérité face aux tyrans, il est immédiatement classé comme traître, et serait jeté dans les centres de détention sans procès et sans justice.
En fait, nous ne savons pas où vont nos richesses et nos biens, alors que notre pays ne trouve pas une école saine, ni un hôpital à la norme, ni une seule usine qui fabrique un produit utile pour le pays ou pour le citoyen ordinaire.
Le pire dans tout ça, c’est que vous trouvez le pervers Tebboune, demandant de l’aide pour construire des hôpitaux et des routes à des pays frères, cependant et sans vergogne, il prétend que l’Algérie est une force de frappe !
Après que le président Tebboune ait mendiait les stades de l’émir du Qatar, c’est le tour du ministère de la Santé.
En effet, le ministre de la Santé, Abdelhak Saïhi, et l’ambassadeur du Qatar en Algérie ont révélé le démarrage imminent du nouveau projet d’hôpital algéro-qatari-allemand lors d’une audition au siège du ministère, en présence du président du conseil d’administration de la société « Elegance Health Care » affiliée à Investment Holding Group Mohamed Moataz AlKhayat, ainsi que des cadres de l’administration centrale.
Saïhi a souligné la grande importance du projet hospitalier algéro-qatari-allemand, dont les travaux débuteront dans les prochains jours. Soulignant qu’il constitue une nouvelle pierre de taille dans le renforcement des relations diplomatiques entre pays amis et qu’il est issu des directives des dirigeants de chacun des pays coopérant avec l’Algérie.
Belles paroles, mais la plus grande crainte est que le projet échoue, comme ses prédécesseurs, des projets fictifs dont le budget et le financement vont aux comptes secrets d’éminents responsables de l’État, afin que la richesse du pays et l’aide étrangère aller à la clique du gang, et personne ne pourra dire : « Oh mon Dieu, c’est répréhensible. » .