La période de règne du président Tebboune, menteur et voleur, a été marquée par une décadence et une corruption généralisée à tous les niveaux en Algérie. Au cours des quatre dernières années, le pays a subi une détérioration constante dans tous les domaines, de l’éducation à la santé, en passant par l’agriculture, l’industrie et l’économie. Les villes sont devenues des foyers de bidonvilles, les transports sont chaotiques, les accidents de bus et de la route sont fréquents, et des dizaines de bateaux d’immigrants coulent chaque année.
La corruption est devenue la norme plutôt que l’exception en Algérie. Les valeurs sociales et morales ont été inversées, les valeurs nobles telles que l’honnêteté, la fiabilité, la connaissance, la diligence et l’intégrité sont devenues rares. À leur place, les valeurs décadentes comme le mensonge, l’ignorance, le pillage et l’impudence ont pris le dessus. Ce changement de valeurs a conduit à la dégradation de la société dans son ensemble et a ouvert la voie à l’ascension de menteurs et d’opportunistes qui ont profité de ce nouveau système.
La perte de crédibilité et de légitimité du régime a également entraîné le déclin de l’industrie pétrolière et de l’éducation, tandis que la politique a été humiliée. Les intellectuels qui devraient jouer un rôle critique en sensibilisant et en conduisant la société vers le développement et la prospérité, sont devenus des serviteurs de la tyrannie et ont renforcé l’emprise de l’autorité de sécurité sur la réalité. Au lieu de représenter la conscience de la nation et de protéger ses valeurs, les journalistes (Hafid Derradji et Khadija Benguenna) ont été corrompus par l’argent, les positions et les prix du régime. Ils sont devenus des gardiens de l’idéologie de la décadence et des adeptes des services de sécurité qui les dirigent comme des marionnettes. C’est la triste réalité des journalistes algériens, qui sont souvent réduits au silence ou muselés par les autorités en place. Ceux qui osent s’opposer au régime sont attaqués avec férocité et leurs voix sont étouffées. Les journalistes qui sont censés être des gardiens de la vérité et de la justice sont souvent réduits à des marionnettes, manipulées par l’appareil de sécurité du gouvernement et contraints de taire la vérité.
Malheureusement, cette situation a eu un impact dévastateur sur la crédibilité de la profession journalistique en Algérie. Les journalistes sont souvent considérés avec suspicion et méfiance, car beaucoup sont perçus comme étant de connivence avec le gouvernement ou corrompus.
La situation actuelle en Algérie est un rappel brutal de l’importance de la liberté de la presse et de la nécessité de protéger les journalistes qui risquent leur vie pour rapporter la vérité. Les journalistes doivent être libres de travailler sans crainte de représailles et de rétorsion, afin qu’ils puissent jouer leur rôle vital de gardiens de la vérité et de la justice.