Les généraux algériens : promoteurs de la paix au Soudan, mais diviseurs des pays voisins

Dans une célèbre maxime arabe, il est dit : « Si tu n’as pas honte, fais ce que tu veux ». Cela résume parfaitement la situation actuelle avec le régime de la bande de criminels et de tueurs en Algérie. Leurs discours politiques intérieurs et extérieurs ainsi que leurs déclarations diplomatiques sont en contradiction avec leurs actions et leurs plans diaboliques sur le terrain et sur la scène internationale.
Ils prétendent avoir réuni les Soudanais et joué un rôle de médiateur pour mettre fin à la guerre en cours dans ce pays, mais ils ont été les premiers présidents à contribuer à la division du Soudan en deux États, en finançant les mouvements séparatistes avec notre argent et notre équipement militaire, et en envoyant nos soldats dans une guerre qui ne nous concerne ni de près ni de loin.
C’est également le cas avec les mercenaires du Polisario, le mouvement séparatiste soutenu par des généraux avec notre argent, notre puissance et nos richesses. Leurs enfants étudient en Europe et leurs comptes bancaires débordent de l’argent du pauvre peuple. À tout moment, le général rebelle Shangriha cherche à allumer la mèche de la guerre dans la région en se frottant aux voisins. Il ne manque aucune occasion pour prendre une nouvelle partie des terres libyennes, profitant de la division interne en Libye dans laquelle la bande a joué un rôle majeur avec ses plans malveillants.
Ensuite, il s’en prend à la Mauritanie, en envoyant une bande de mercenaires séparatistes et nos soldats à la frontière pour sentir le pouls et découvrir la réaction des Mauritaniens à cette intervention flagrante dans la souveraineté mauritanienne. Enfin, il s’ingère dans les affaires intérieures de la Tunisie en la considérant comme une province algérienne, ignorant l’histoire de la Tunisie, qui remonte à des années avant notre propre histoire.
Après tout cela, les généraux continuent de semer la discorde et la division entre notre peuple opprimé et le peuple du royaume du Maroc en propageant la politique de l’hostilité et de l’ennemi classique sur lequel ils font reposer tous les échecs du régime de la honte et de la déchéance. En fin de compte, ce régime ne fait pas le bien, même pour son propre peuple. Il se vante de réparer les relations brisées et de promouvoir la paix, mais il viole littéralement les enfants en plein mois de Ramadan, nous nourrit de viande de la charogne et nous fait boire de l’eau d’égout, et nous offre en sacrifice aux gouvernants de la tyrannie.