Le citoyen tue pour un bout de cigarette, mais il ne peut pas affronter le gang pour se libérer

La situation en Algérie est plus que jamais explosive ! Le peuple vit sur un volcan en éruption, et chaque jour qui passe, la tension, la colère et la violence s’intensifient. La pauvreté, la faim, l’ignorance, la corruption, la dépravation sexuelle, la prostitution, le crime financier et moral, tout cela pèse sur la société et engendre des phénomènes déviants, insensés, d’une rare violence. Et pourtant, les généraux, ces soutiens officiels de la discorde, du désordre, du chaos, de la mort et de la destruction, continuent de manipuler le pouvoir et de semer le désarroi.
Le peuple algérien, quant à lui, se lamente dans sa misère, se soulève dans sa révolte, mais ne parvient pas à se mobiliser pour faire face à l’ennemi véritable, ces généraux traîtres et corrompus. Au lieu de s’unir autour d’une cause commune, d’une révolution de la faim et de la dignité, les citoyens se déchirent entre eux, se tuent, se volent, poignardent les imams les plus respectables, comme s’ils étaient des ennemis de l’Islam.
Le pire, c’est que le suicide est devenu une pratique courante en Algérie. Chaque semaine, des dizaines de citoyens se pendent, se brûlent, s’empoisonnent, tous victimes d’une vie de misère, de maladie, de solitude et d’ignorance. Pour eux, la mort est préférable à une vie d’humiliation et de souffrance, surtout quand ils ont en face d’eux des ennemis qui les ont poussés à la misère, à la maladie, à la pauvreté, à l’isolement, à la dépression et au désespoir.
Pourtant, si ces hommes et ces femmes désespérés prenaient leur courage à deux mains et décidaient de se battre contre leurs oppresseurs, contre cette bande de malfrats qui les maintient dans la servitude et la souffrance, alors leur mort aurait un sens, une signification, une valeur. Elle serait un témoignage de leur courage, de leur détermination, de leur amour de la liberté et de la justice. Elle serait un message à l’adresse de tous les tyrans, de tous les dictateurs, de tous les exploiteurs, de tous les criminels qui croient qu’ils peuvent éternellement maintenir les peuples dans l’obscurité et l’oppression.
Le temps est venu pour le peuple algérien de se lever, de se battre et de vaincre. Le temps est venu pour nous de reconquérir notre liberté, notre dignité, notre honneur. Le temps est venu pour nous de construire un pays juste, démocratique et prospère, où chacun pourra vivre en paix, en sécurité, en harmonie avec lui-même et avec les autres. La route est longue, difficile, semée d’embûches et de dangers, mais si le peuple algérien fait preuve de courage, de sagesse et de détermination, alors il pourra triompher de toutes les épreuves et de toutes les difficultés.