Dans le summum de la bassesse et de la perfidie, le président Tebboune, se joint aux journalistes pour célébrer leur journée mondiale à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, qui a lieu le 3 mai de chaque année. Avec son hypocrisie et son arrogance, il ressemble à quelqu’un qui tue un mort et console sa famille pour sa mort, et sympathise avec ses enfants et les réconforte. En effet, des milliers de journalistes algériens libres ont été tués, torturés, violés, persécutés et harcelés, et leurs pères et leurs proches ont été emprisonnés, durant l’ère de Tebboune, ainsi que sous le règne de ses prédécesseurs dictateurs. La liste est longue, depuis l’aube de l’indépendance de l’Algérie et l’exécution des premiers journalistes martyrs de l’opinion et de la liberté d’expression, jusqu’à la journaliste libre Amira Bouraoui et le journaliste militant Ihsane El Kadi.
Le président Tebboune a participé à une célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse au Centre international des conférences Abdelatif Rahal à Alger, en compagnie du clown Salah Goudjil, du chef des clowns Ibrahim Boughali, du ministre stupide Ayman Ben Abd Al-Rahman, du chef de l’armé Saïd Chengriha, ainsi que des membres du gouvernement, des cadres supérieurs de l’État, des responsables des institutions médiatiques et des journalistes et membres du secteur de la communication et des représentants de la presse étrangère accréditée en Algérie. Cela signifie que tous les suceurs de sang, les bouchers de la bande, les assassins du peuple et les violeurs d’enfants étaient réunis lors de la journée des journalistes, et que le nombre de membres de la bande présents au centre de conférences dépassait largement celui des journalistes présents. En fait, la plupart des journalistes indépendants respectueux des principes de la profession refusent catégoriquement de s’asseoir avec les assassins du peuple et les violeurs d’enfants !