Un cambriolage spectaculaire et compromettant secoue la villa d’un haut gradé de l’armée populaire algérienne, suscitant l’indignation et la consternation dans tout le pays. Ce général, dont l’identité demeure secrète pour des raisons de sécurité, réside dans la paisible daïra d’El Hamma, située dans la wilaya de Khenchela. L’audace et l’ampleur de cette attaque laissent perplexes les autorités et soulèvent de nombreuses interrogations quant aux conséquences sur la sécurité de l’État.
Selon les déclarations poignantes du général, cette intrusion dans son sanctuaire personnel s’est soldée par un vol aussi pernicieux que dévastateur. Les malfaiteurs ont dérobé une quantité considérable de bijoux en or, symboles de son statut éminent, mais également des documents confidentiels qui pourraient compromettre la stabilité et l’intégrité de l’Algérie. Face à cette situation critique, les éléments d’élite de la brigade de police judiciaire de la sûreté d’El Hamma ont immédiatement entamé des investigations minutieuses.
L’enquête débute par une inspection scrupuleuse de la résidence du général, mettant en lumière des indices laissés par les audacieux cambrioleurs. Les enquêteurs, guidés par leur expertise sans faille, s’attellent à collecter des empreintes et d’autres éléments probants sur la scène du crime. Grâce à leur travail acharné, une percée majeure intervient rapidement dans cette affaire rocambolesque : un gang criminel, aussi dangereux que clandestin, composé de trois individus, dont deux mineurs venant de la capitale et un ressortissant africain résidant en Algérie, est identifié comme responsable de ce forfait.
Les membres de ce gang néfaste seraient impliqués non seulement dans le cambriolage de la villa du général, mais également dans le vol de ses biens précieux, selon une source sécuritaire haut placée citée par notre rédaction. La nouvelle de l’arrestation de ces suspects, dont deux marchands spécialisés dans le commerce de bijoux, a provoqué un soulagement mitigé au sein de la population, qui demeure préoccupée par les conséquences potentiellement dévastatrices de cette atteinte à la sécurité nationale. Il est important de souligner que les autorités ont agi sur ordre direct du général lui-même, qui, malgré son éloignement géographique à la wilaya de Constantine, a suivi de près cette affaire à titre personnel.
Cependant, dans une société où la quête de la vérité prévaut, il convient de rester prudent quant à la version officielle présentée par l’officier chargé de l’affaire. Malgré les affirmations des autorités, notre média intrépide s’est engagé dans une quête sans compromis pour démêler les fils de cette intrigue captivante. Ainsi, nous avons déployé des moyens considérables, mobilisant des agents de sécurité à la villa du général pour découvrir la vérité qui se cache derrière les apparences.
Il est bien connu que nous recherchons toujours la vérité et la divulguons, même si cela peut nous causer des problèmes et des catastrophes. Nous avons rejeté les déclarations de l’officier chargé de l’affaire et dépensé des centaines de dollars pour certains agents de sécurité travaillant dans la villa afin de connaître la vérité sur ce qui s’est réellement passé. Tous ceux que nous avons interrogés sont unanimes pour dire que le général est victime de ses comportements déviants et de sa dépendance à l’alcool, car il amène toujours des prostituées étrangères, principalement africaines, pour se livrer à des actes de dépravation sexuelle avec elles, et il ordonne aux prostituées de s’engager dans des rapports sexuels entre elles, tout en les regardant. Ensuite, il ordonne au ressortissant africain de monter sur son dos et d’avoir des relations homosexuelles répugnantes, après avoir divorcé de sa femme il y a environ vingt ans. Le personnel ajoute que le ressortissant africain est celui qui a planifié le vol après l’avoir vu offrir un verre de whisky à son amant, le général, après y avoir mis un somnifère, et que les prostituées étaient complices de l’africain dans le vol. Une fois que le général a perdu conscience, ils ont pris tout son argent, ses bijoux et ses documents confidentiels.