Dans une sinistre menace envers les autres prétendants à la présidence de notre pays dévasté et les rivaux du président excentrique Tebboune, la Cour d’appel du Conseil judiciaire d’Algérie a tard dans la nuit prononcé la levée de la sanction contre le général à la retraite et candidat malheureux de l’élection présidentielle de 2019, l’ancien rival du bouffon Tebboune, le détenu « Ali Ghediri ». Il est condamné à 6 années de prison ferme, privé de ses droits politiques et civils, et banni de toute participation électorale pendant les dix prochaines années. De plus, il sera soumis à une surveillance étroite pendant vingt longues années. J’imagine que le vénérable juge a tout simplement oublié de lui priver de l’air qu’il respire, de la nourriture qu’il consomme et de l’eau qu’il boit. Car en le privant de ses droits politiques et civils, Ghediri est relégué à une existence sans valeur dans son propre pays, dépouillé de sa dignité et relégué au rang des animaux errants dans les rues de la capitale. Son honneur, son sang et sa chair sont laissés à la merci de tous les passants !
Le régime militaire, présent dans tous les coins du globe, a son mode opératoire bien connu pour éliminer ses opposants : les tuer ou les jeter en prison en leur inventant toutes sortes d’accusations, allant jusqu’à la trahison suprême et la menace à la stabilité du pays. Le dictateur Al-Sissi n’est pas loin de nous, tout comme le criminel Kaïs Saïed, fruit de l’apprentissage de la bande des généraux dirigée par Chadli Bendjedid. Il conduit la Tunisie vers l’abîme et la destruction. C’est ainsi que les coulisses des élections présidentielles en Algérie ont été précocement ouvertes. Tebboune a commencé à éliminer ses puissants adversaires en les exilant hors des murs du palais présidentiel. Un spectacle digne d’un clown chaussé de Ramtane Lamamra, qui tentait de contourner le trône du pouvoir et d’obtenir le soutien de son amant, le président français Macron. Ce dernier, fidèle à son amant Tebboune, lui a révélé les intentions de Lamamra de briguer la présidence de la République. Cela a provoqué son limogeage immédiat et son expulsion hors des remparts du palais d’El-Mouradia. Un exemple édifiant pour tous ceux qui pourraient songer à une telle traîtrise.
Je lance donc un appel au peuple malheureux, s’il ne s’unit pas d’une seule main contre Tebboune et sa clique, alors Tebboune restera au pouvoir jusqu’à ce qu’il le lègue à son fils dépravé ou à sa fille prostituée, fervente défenseuse de la liberté sexuelle et de l’homosexualité. Attendez seulement, le spectacle ne fait que commencer…