Au moment où le roi d’Algérie le général Gaïd Salah prononçait un discours chaque heure, pour dire au peuple qu’il détient le pouvoir en Algérie et contrôle tout sous sa main, l’éditorial du magazine de l’Armée « Revue El Djeich », édité par le ministère de la Défense nationale, a publié que «l’ère des dictats et de la fabrication des présidents est définitivement révolue», dans une nouvelle mauvaise pièce de théâtre orchestré par le gros général qui sous-estime l’intelligence du peuple.
En effet, tout le monde en Algérie sait que les généraux de l’armée dirigent le pays depuis 50 ans et tout le monde sait que le renversement des généraux n’est pas facile et une institution militaire forte ne peut permettre à un civil, même à un président, plutôt qu’à un civil extérieur au pouvoir, de licencier des hauts gradés militaire ou de renseignement sans l’approbation de l’armée et la bénédiction de ses services de renseignement. Ainsi, la plupart des présidents qui ont dirigé le pays venaient principalement de la même institution. Même les généraux de l’armée et de renseignement les plus forts n’ont pas eu ce pouvoir, donc comment peut-on croire que Noureddine Bedoui et Abdelkader Bensalah derrière ce qui se passe aujourd’hui? Et que les changements qui ont eu lieu au sommet du service de sécurité le plus puissant en Algérie et à la tête de l’établissement militaire est une preuve que ce qui se passe à l’intérieur est très fort et que le responsable de tout ça est encore plus fort mais peu de gens connaissent ce qui se passe vraiment, et encore moins de gens sont conscient de la gravité de ce qui se passe en profondeur et personne ne peut prédire l’heure de la prochaine d’explosion parce que le gros Gaid Salah souffre de la maladie de la grandeur et se voit un dieu et au-dessus de tout le monde.
En fait, les proches de Gaid salah déclarent qu’il n’a pas de problème de créer une nouvelle décennie noire en Algérie si le peuple ne s’est pas agenouillé devant lui.