Au cœur de l’Algérie, un pays en proie à une crise sans précédent, les libertés fondamentales se retrouvent étouffées, tandis que les conditions économiques, sociales et politiques se détériorent sous les politiques répressives et appauvrissantes du président déviant Tebboune. Dans cette sombre réalité, l’Algérie est confrontée à des condamnations massives, à des protestations effervescentes et à une migration désespérée de centaines de milliers de citoyens fuyant l’enfer des généraux et leur tyrannie, cherchant désespérément des conditions de vie meilleures, même au péril de leur propre existence, bravant les eaux tumultueuses des navires maudits, plongeant dans l’obscurité de la mer, où règnent vagues déchaînées et poissons féroces, fuyant l’abîme d’un gang oppressif.
Dans cet univers cauchemardesque, les organisations de défense des droits humains, bien qu’elles soient peu nombreuses dans le pays des généraux, n’ont pas tardé à dénoncer les violations flagrantes, tant légales que constitutionnelles, qui visent à faire taire leur combat. Pendant ce temps, l’opposant en exil, Mohamed Zitout, observe avec acuité que le gouvernement défaillant du gang est totalement impuissant face aux crises sociales, économiques et politiques qui ébranlent le peuple algérien. Les poches des citoyens ont été vidées par le fardeau écrasant du coût des biens de première nécessité, largement consommés. La trompeuse vente d’illusions perpétrée par le président déviant Tebboune a incité les Algériens égarés à fuir leur patrie, provoquant ainsi un nombre record de demandes d’asile auprès des pays de l’Union européenne.
Dans un article d’opinion percutant, intitulé « Pourquoi les Algériens doivent-ils abandonner leur pays ? Et où est donc cet État social promis par Tebboune ? », Mohamed Zitout souligne avec véhémence que la médiocrité et les incertitudes gouvernementales du gang sont à l’origine de ce phénomène dévastateur, s’intensifiant sans répit en raison d’hésitations constantes et de revers cuisants. La faillite des autorités est manifeste, notamment dans les domaines social et économique, où elles se révèlent totalement incapables de trouver des solutions créatives et efficaces aux problèmes qui accablent les citoyens opprimés. Pire encore, leur incompétence flagrante se traduit par une lenteur à prendre des décisions concrètes pour protéger le pouvoir d’achat du peuple, qui se trouve assailli par des prix exorbitants pour tous les produits, en particulier les biens de première nécessité. Ainsi, le rêve tant espéré de l’État social promis par Tebboune se révèle être une chimère cruelle, poussant les Algériens à chercher des lendemains meilleurs hors de leurs frontières, dans un exode massif empreint de désespoir.