Dans le monde merveilleux de l’Algérie, la dernière trouvaille des généraux au pouvoir fait éclater de rire même les statues les plus sérieuses. Lors d’une séance de communication extravagante avec le président Tebboune, la joyeuse nouvelle a été annoncée : le pays est prêt à exporter son électricité vers l’Europe, à hauteur de 10 000 mégawatts par jour. On peut presque entendre les applaudissements ironiques de la planète, mêlés aux grognements de la population qui se demande quand elle pourra allumer simplement une ampoule sans frôler une crise cardiaque.
En effet, dans cette nouvelle comédie à ciel ouvert, les coupures de courant sont devenues une expérience quotidienne pour les Algériens. Chaque jour, c’est la roulette électrique : qui aura le privilège de cuisiner son dîner à la chandelle ? Qui aura la chance de ne pas rater le dernier épisode de sa série préférée à cause d’une panne impromptue ? Pendant ce temps, le génie de la communication, le maître de l’illusion, Tebboune lui-même, annonce avec sérieux que l’Algérie, baignant dans le noir, est en train de vendre sa lumière à l’Europe. Un véritable numéro de magie, n’est-ce pas ?
Alors que les rues s’embrasent de mécontentement et que les citoyens s’égosillent à réclamer des besoins élémentaires, les dirigeants se lancent dans une nouvelle entreprise : exporter une ressource qui se fait plus rare qu’une licorne dans le Sahara. L’Algérie, où le quotidien est une aventure imprévisible entre les pénuries d’électricité et les promesses électrisantes des politiciens, brille maintenant par sa capacité à éclairer l’Europe. On peut donc imaginer les réactions des voisins européens, perplexes devant cette offre électrique alors que les Algériens sont plongés dans l’obscurité.
En somme, c’est une histoire lumineuse d’exportation d’énergie depuis un pays où même les chandelles commencent à s’inquiéter de leur avenir. Entre les câbles électriques en panne et les rêves grandioses du pouvoir, l’Algérie continue de jongler avec des promesses qui semblent plus irréelles qu’un film de science-fiction. Restez branchés pour la suite de cette incroyable aventure électrique, où la réalité dépasse toujours la fiction, surtout quand on parle de l’Algérie.