Après que le roi du pays, le général Gaid Saleh a ordonné de tenir les élections présidentielles à la fin de l’année, ses pions ont commencé à flotter sur les médias jaunes en Algérie et à montrer leurs grosses têtes.
En effet, le président du parti Binaa Al Watani, Abdelkader Bengrina, a officiellement décidé de se présenter aux élections présidentielles qui se dérouleront le 12 décembre 2019, lors de la réunion qui se tiendra au palais des expositions.
Des pions en grand nombre ont été choisis très soigneusement par le général Gaid Salah. Le choix de ces marionnettes n’a rien à voir avec ni la qualité ni avec l’efficacité de ses personnes, mais avec le souci de la dépendance, de l’esclavage et de l’obéissance au Gaid Salah, le général qui contrôle tout en Algérie. Ces pions doivent réaliser les objectifs personnels du Gaid Salah.
Cependant, on demande ce qui a rendu la candidature à l’élection présidentielle si facile?
La réponse réside dans l’histoire des présidents qui dirigeaient le pays depuis l’indépendance jusqu’aujourd’hui. En fait, les points positifs de l’histoire de la présidence peuvent se compter sur les doigts d’une main, en raison du groupe des généraux au pouvoir qui ont présenté des présidents pions qui ont nui à l’Algérie et au peuple surtout dans le processus politique où ils n’ont pas appliqué la démocratie dans la pays durant leur règne.
En outre, ses présidents ont également pillé le pays en plein jour, puis sont apparus dans les médias, avec une image dégoûtante et abominable en se mettant d’accord sur leurs intérêts mais leur désaccord sur ce qu’ils ont pillé.
Ils ont commencé à menacer l’un l’autre des dossiers de corruption sans être soumis à la loi. Même ceux qui ont été arrêté, ils ont été acquittés et ont été autorisés à se rendre à l’étranger avec l’argent des Algériens.
En effet, la liste est longue et connue de toutes les composantes du peuple. Mais le fait que celui ci a baissé sa tête aux généraux depuis l’indépendance, a laissé tous les bénéficiaires à faciliter l’idée de se présenter à la présidence pour leur seul bénéfices personnels et rien d’autre.