Le peuple algérien a accusé le pharaon du pays, Gaid Salah, d’essayer d’intimider les citoyens par le biais d’arrestations arbitraires et de perquisitions humiliantes par la police.
En effet, de nombreux activistes sur Facebook ont déclaré que la police, l’armée et les gendarmes protègent les criminels comme Gaid Salah pour faire peur et intimider les citoyens afin de s‘abstenir de parler de la corruption dans le pays, accepter le coût de la vie élevé, être esclave du général Gaid Salah et d’être satisfait de l’avenir inconnu dans le cadre des prochaines élections.
En outre, des sources du ministère de l’Intérieur ont déclaré que les postes de police connaissaient un surpeuplement sans précédent en raison du nombre élevé de détenus du Hirak populaire dans toutes les wilayas.
Avec le grand nombre d’arrestations arbitraires, les postes de police sont devenus surpeuplés et sont incapable d’accueillir le nombre accru des groupes de détenus. Environ 200 détenus du Hirak ont été arrêtés aujourd’hui, outre, les 70 personnes qui ont été arrêtées vendredi dernier lors des manifestations hebdomadaires organisées dans le pays.
Des abus massifs ont été constatés à tous les points des manifestations. Les manifestants ont été tabassés, arrêtés par la police qui n’a pas fait preuve de pitié envers ni enfants ni âgés ou femmes.
Face à ces abus et violations illégales, certaines médias soutiennent encore le régime dictateur en donnant une image différente de la scène tragique réalisée par les gardes du pharaon de l’Algérie Gaid Salah. En outre ses médias collaborent même avec des faux témoins dans le cadre d’un accord qui sert les agendas des généraux vampires suceurs de sang du peuple.
D’autre part, les militants sociaux ont condamné ce coup militaire sur la conscience de la population et ont vivement déploré le climat de répression policière contre la population civile, que nous appelons « la pratique du terrorisme contre les citoyens », estimant que les policiers qui brutalisent les citoyens comme des traîtres de la volonté du peuple et ne voient dans le pays que des billets de banque, ce qui signifie que ce qui les anime et qui les inspire, eux et leur maître c’est l’argent et seulement l’argent.