La parodie des élections en Algérie : la participation des morts, des prisonniers, des «harragas», des combattants africains et même du Polisario

Si nous voulons examiner ce qui s’est passé en Algérie en ce qui concerne le viol de la démocratie, nous constatons que ce qui s’est produit n’a aucun rapport avec les élections, concernant ce qui ait précédé le processus électoral, ce qui s’est passé lors du processus de nomination ou bien les opérations dangereuses impliquées dans l’organisation des élections et des opérations de vote.
Sans parler des processus de supervision électorale et de leur influence de l’extérieur dans le contexte de l’intimidation et la terreur qui affectent le processus de vote et les résultats réels des élections.
Par conséquent, ces fausses élections ne peuvent pas être inscrites sur la liste électorale réelle, en particulier pour les crimes commis dans ce processus à toutes ses étapes …
Parmi les crimes les plus importants liés aux élections de Gaid Salah figurent les fraudes de la source à l’estuaire. De la source qui traite des principaux contextes et de l’estuaire qui traite des résultats des élections truquées.
C’est là que réside le processus de fraude et nous n’avons pas besoin de nombreux indicateurs et preuves qui confirment que le processus électoral est truqué et qu’il l’était depuis le début. La première signification qui vient à l’esprit lorsque vous entendez le mot fraude, changement de votes ou achat de votes et toute corruption qui se produit lors du dénombrement des votes. La contrefaçon, dans son extension et son polymorphisme, forme une famille intégrée et un concept lié à de nombreux points en commun jusqu’à ce qu’elle crée une condition sociétale.
La loi considère la contrefaçon comme un phénomène qui vise à changer la vérité dans l’intention de tricher et de frauder avec l’une des manières matérielles et morales dont la loi est tenue pour responsable, car elle porte préjudice à l’intérêt public tout en créant l’illusion …
Par conséquent, ces élections ont été entachées de fraude en découvrant des défauts dans les listes électorales, puisqu’il avait dans plusieurs commissions électorales les noms des personnes recensées il y a des années, ainsi que les noms des prisonniers et des personnes ayant quitté illégalement le pays « Haraga ». Et la grande catastrophe est la participation d’étrangers. En effet, des milliers de combattants du Polisario ont été transportés en civil de Tindouf aux États voisins pendant la nuit dans de gros camions à destination des bureaux de vote afin de montrer que la participation était importante. Des migrants africains ont voté également dans les États du sud au nom du peuple algérien qui rejete ses élections truquées. C’est vraiment une parodie historique et internationale.