Depuis que Gaid Salah a pris le pouvoir en Algérie et qu’il nous expose à une série infinie de dangers, il a fait de la peur son agenda quotidien.
Chaque jour, des nouvelles sur l’arrestation des terroristes et chaque jour un discours sur Al-isaba (la bande) qui veut détruire le pays (Bien qu’il soit le chef d’Al-isaba) afin qu’il soit comme les pays voisins la Libye et la Tunisie.
La peur permanente est une chose mauvaise dans la gestion des affaires personnelles et encore pire dans la gestion des affaires de l’État. Mais d’un point de vue politique, c’est une méthode très réussie, en particulier pour un dirigeant qui veut faire taire le peuple pendant qu’il démolit la démocratie pierre par pierre …
Et parce que le chef d’état-major, le vice-ministre de la Défense, le-général Ahmed Gaid Salah, vit dans une terreur infinie et craint un coup d’État contre lui, il commence à patauger dans tout les sens. C’est pour cela il a mit fin aux fonctions de son chef de cabinet, le colonel Lahbari, après avoir achevé les fonctions du colonel Rabah, le chef de sécurité interne du ministère de la Défense Nationale, l’arrestation du colonel Lyes Badji, chef du service de l’interprétariat au ministère de la Défense nationale et en gelant les fonctions Wassini Bouazza, le premier responsable de la direction générale de la sécurité intérieure, l’une des trois branches des services secrets algériens ainsi que le licenciement d’un certain nombre d’autres hauts gradés de l’armée après les résultats de l’élection présidentielle qui ont bouleversé Gaid Salah et son entourage…
En outre, le Général Gaid Salah est accusé d’ingérence dans le système judiciaire, car il a aboli les traditions selon lesquelles les juges supérieurs étaient nommés conformément à la loi. Au lieu de cela, il n’a pas eu honte de nommer ses proches et certains de ses sympathisants.
En plus de l’augmentation du nombre de citoyens détenus, Gaid Salah se prépare également à apporter de grands changements dans le domaine des médias, car il veut licencier certains dirigeants du domaine pour les remplacer par d’autres plus obéissants aux postes de direction.
Les sources ont souligné que Gaid Salah n’était plus en mesure d’accepter même une petite critique, mais il voulait voir les médias qu’il souhaite pour le soutenir dans tous ce qu’il décide et qui ne s’opposent pas et n’expriment pas son point de vue ni celui des autres et en approuvant tout ce qu‘il dit sans réfléchir ni même expliquer les détails ou poser des questions qui peuvent sembler controversées.