Le régime des généraux montre son visage monstrueux et lance une campagne d’arrestations arbitraires

Au sommet de la dictature, les militants activistes libérés ont de nouveau été arrêtés mardi 14 janvier à Oran, selon un communiqué publié par le Comité national pour la libération des détenus (CNLD), où il a publié sur sa page que le président du bureau de la Ligue Algérienne pour la Défense des Droits de l’Homme (LADDH) d’Oran, Kaddour Chouicha, ainsi que Toufik Hassani et Mohamed Hilal après avoir participé à la marche des étudiants dans la capitale occidentale, où ils ont été arrêtés. La CNLD n’a pas fourni de détails sur les circonstances de leurs arrestations, mais elle a appelé les avocats et les militants de la région d’Oran pour leur libération.
Jusqu’à présent, des militants, des avocats et le vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme sont toujours au poste de police d’Oran. De plus, CNLD a déclaré dans un autre communiqué que 13 des détenus avaient entamé une grève de la faim à la prison d’El Harrach. Ils ont l’intention de protester contre leur emprisonnement injuste et l’oppression qu’ils subissent en prison. Pire encore, ils ont été informés que leur procès était prévu pour le 16 mars et la même source a indiqué que les détenus concernés étaient placés dans des cellules isolée hier après-midi.
En plus, les familles de ces détenus nous ont informés que certains d’entre eux avaient reçu des injections par les médecins de la prison pour ne pas perdre conscience à cause de la faim et d’atteindre le stade de danger.