Les manifestations ont eu lieu dans le pays pendant plusieurs mois et qui ont rien changé alors que le système des généraux est toujours en place. Aujourd’hui nous constatons qu’après un an de manifestations, la situation va de pire en pire et l’emprise des généraux se renforce et la vente des richesses du pays continue sans cesse.
En effet, le président et le conseil de gouvernement sont passés de la voie législative à des gangsters qui sont entrain de piller les richesses du pays et un législateur pour tout ce qui nuit à cette nation et à ce peuple.
Je le dirai pour la première fois si le président et le conseil de gouvernement vont ajouter un paragraphe pour abolir la règle 51/49 et que si cette loi passe inaperçu donc on n’a pas besoin de ce président fantoche. Et la prise d’assaut du Conseil gouvernemental et de la Chambre des représentants, l’organisation d’un sit-in dedans et l’arrêt de son sabotage devint une nécessité nationale. Je pense qu’il est urgent d’empêcher ces conseils de jouer leur rôle subversif.
De nombreux ambassadeurs et chefs d’entreprise se sont réjouis du paragraphe sur l’abrogation de la règle 51/49 qui figurait dans la loi de finances pour 2020.
Cela s’explique par les rencontres marathoniennes que Tebboune a tenues avec les ambassadeurs de France, d’Amérique, de Russie et de Grande-Bretagne, dans le but de reprendre la vente des richesses du pays. Comme s’il n’y avait pas de manifestations ni de peuple qui s’est révolté pour se libérer.
Si nous ne nous rendons pas compte à fin de restaurer notre pays et nos richesses, nous serons esclaves et travailleurs dans les féodalités coloniales, et cela se produira dans les secteurs des services, des banques, du pétrole, du gaz et des minéraux, qui seront répartis entre les pays de la France, la Grande-Bretagne, la Russie et l’Amérique …
De nombreux experts estiment que l’Algérie n’est pas en crise et que tous les chiffres et données le prouvent et n’ont pas aujourd’hui à ouvrir le capital des institutions aux particuliers. Et la preuve à cela c’est que l’Algérie possède plus de 70 milliards de dollars de réserves ainsi que les fonds souverains contiennent à eux seuls 100 milliards de dollars.
Les experts se demandent avec un ton fort, comment un pays qui a effacé les dettes de plusieurs pays africains veut vendre ses sociétés souveraines aujourd’hui sous le couvert de la crise?
Ils ont également souligné que nous ne devons pas oublier ce qui s’est passé dans les années 90 lorsque le Trésor public a perdu 30 milliards de dollars à cause de la privatisation.