Tôt ce matin du 1er janvier, le Japon a été secoué par un séisme intense d’une magnitude de 7,4 sur l’échelle de Richter, frappant la région de la côte ouest et entraînant des alertes au tsunami dans plusieurs zones et pays. L’épicentre du puissant tremblement de terre était situé dans la préfecture d’Ishikawa, au centre de l’île de Honshu, au large de la mer du Japon. Dans les instants qui ont suivi, la télévision japonaise est devenue un vecteur crucial d’information, fournissant des mises à jour en temps réel sur le phénomène et les risques de tsunami qui en découlaient. Les médias ont joué un rôle essentiel dans la sécurité et la coordination de la réponse à cette catastrophe.
Des signes distinctifs et des sons évocateurs ont précédé l’annonce de l’alerte, accompagnés d’images des villes les plus exposées aux effets du séisme. Une carte du pays indiquait les zones côtières les plus vulnérables. Les premières vagues, d’une hauteur de 1,20 mètre, ont déjà touché certaines villes, mais les autorités ont averti que des vagues beaucoup plus importantes pourraient suivre, atteignant jusqu’à 5 mètres selon l’Agence météorologique du Japon.
Le gouvernement a immédiatement réagi en convoquant un cabinet de crise pour gérer la situation. Les citoyens ont été exhortés à se réfugier dans des endroits sûrs et surélevés pour éviter l’impact des vagues. Le Premier ministre a promis une communication transparente et continue avec la population, coordonnant les efforts entre les différents ministères et institutions.
En l’espace de 90 minutes, le Japon a enregistré 21 tremblements de terre d’une magnitude supérieure ou égale à 4 dans la région centrale du pays. Le gouvernement a confirmé qu’aucune centrale nucléaire n’a été endommagée. Cependant, les évaluations des éventuels dégâts sont en cours, avec plus de 60 000 foyers privés d’électricité, la fermeture de plusieurs routes et autoroutes, ainsi que la suspension de la plupart des services ferroviaires du pays. Par ailleurs, l’alerte au tsunami a été étendue à d’autres pays proches de la zone, notamment la Corée du Sud et la Russie.