L’ancien directeur général de la modernisation de la justice, Abdelhakim Akka, a été condamné hier mardi 16 novembre à une peine de trois ans de prison assortie d’une amende de 100.000 DA par la cinquième chambre pénale de la cour d’Alger pour « faux et usage de faux », rapporte l’agence officielle APS.
La même institution judiciaire a prononcé l’acquittement de Akka des accusations d’abus de fonction en vue de bénéficier d’indus privilèges et de l’utilisation d’un faux diplôme universitaire lors de sa carrière professionnelle.
Le procureur général avait demandé une peine de 10 ans de prison ferme à l’encontre de Abdelhakim Akka, condamné en première instance par le tribunal de Sidi M’hamed à 5 ans de prison ferme assortis d’une amende de 600.000 DA.
En outre, une peine complémentaire a été prononcée à l’encontre du mis en cause actuellement détenu dans la prison de Koléa et qui a été privé d’occuper des fonctions supérieures de l’Etat pendant 5 ans avec indemnisation au trésor public d’un million de DA.