« L’Algérie n’en a pour l’heure enregistré aucun cas du nouveau variant de la covid-19 « OMICRON », signalé pour la première fois à l’OMS par l’Afrique du Sud le 24 novembre 2021 ». Cette annonce a été faite lundi 29 novembre par le Pr Lyes Rehal, directeur général des services de santé au ministère de la santé, lors d’une conférence de presse.
Le même responsable au sein du ministère de la santé a rassuré quant à la rigueur du contrôle sanitaire aux frontières face à toute menace d’importation du nouveau variant du Covid.
En effet, « le dispositif ne s’applique pas spécifiquement pour un variant. ce qui nous importe plus que tout c’est que toute personne entrant en Algérie est-elle porteuse du Covid ou non porteuse », a déclaré le Pr Rahal qui met en avant l’expertise un organisme de référence comme l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) dont le système de vigilance virologique et de veille sanitaire est à l’affût du moindre cas suspect.
De son côté, le directeur général de l’institut pasteur d’algérie a annoncé sur les ondes de la radio nationale qu’il est très probable que le nouveau variant de covid-19 connue sous le nom d’« omicron » fasse son apparition en Algérie dans les prochains jours, affirmant que toutes les mesures nécessaires on été mises en place dans le cas où une personne serait suspectée.
Ce nouveau variant Omicron qui commence à se propager dans le monde, notamment en Europe, est jugé inquiétant et préoccupant par l’organisation mondiale de la santé (OMS) car il serait plus contagieux que les variants précédent.
S’agissant des ces symptômes, les études actuelles effectuées sur les patients sud-africains indiquent la présence d’une fatigue extrême, courbatures et d’une légère toux sèche ou «d’une gorge qui gratte, sans perte de goût ou d’odorat. Ce variant pourrait attaquer de façon asymptomatique.