Il est prévu que la justice algérienne ouvre un nouveau dossier qui a ébranlé la commune de Khenchela, impliquant 12 accusés, dont la plupart sont des employés de la même commune au niveau du « service biométrique pour l’obtention des passeports ».
Les enquêteurs ont découvert que le cerveau de l’opération, résidant en France et portant le pseudonyme « waliddz24 », utilisait son numéro étranger sur l’application « Snapchat » pour communiquer avec des personnes « harraga » résidant dans plusieurs pays européens. En contrepartie, l’intéressé encaissait des sommes d’argent estimées à 2500 euros pour chaque opération de falsification qu’il effectuait. Des sources bien informées ont révélé que le dossier implique 12 accusés, dont il s’agit de l’individu nommé « Khaïmen », employé chargé de la gestion du service biométrique à la commune de Khenchela ; de l’individu « B. Boussf », travaillant dans le transport de marchandises et de personnes ; de l’accusée nommée « A. Kenza », auxiliaire administrative ; de l’accusée « B. Iman », employée à la commune ; ainsi que de l’individu « B. Iman », de l’individu « Ch. Marouane », de « H. Amir », de « K. Amine », de « B. Hicham », de « Kh. Mohamed », de « H. Youssef » et de « Kh. Salah Eddine ».
