Dans le pays de Mickey, les demandes des politiciens flatteurs de généraux, pour un tel ou tel poste, sont toujours acceptées. Cela tient peut-être à deux choses:
La première est que plusieurs de ses hommes politiques ont vendu leur âme aux généraux en devenant leurs esclaves, et ont donc perdu leurs nobles valeurs, qui n’ont pas été perdue même à l’époque de Jâhilîya où l’esclavagisme était prépondérant et c’était un vrai comportement dans la vie des gens.
Et la deuxième est dû au fait que les généraux en Algérie, comme les femmes, aiment beaucoup la flatterie et veulent entendre souvent des éloges excessifs et ont constamment besoin de polir leur image, même avec quelque chose de faux, alors ils s’accrochent comme les petites files à tous ceux qui les adultèrent avec leur pleine conscience de la vérité de ceux qui les flattent, ne le font que pour avoir un poste de responsabilité.
En effet, la flatterie est presque le seul moyen sûr d’atteindre un poste pour les politiciens en Algérie comme Abdelkader Bengrina, surtout si les valeurs de sincérité et d’intégrité ne font pas parties de leur qualités, ce qui fait de la flatterie des généraux est leur seul chemin à suivre, car c’est la voie avec laquelle ils peuvent monter sur les épaules sans égard à ceux qui ont été écrasés sous leur chausseurs ou qui seront blessés. Ce qui est important dans leur croyance, c’est qu’ils atteignent ce qu’ils veulent seulement.
Pour eux la fin justifie les moyens et leur intérêt est assuré au détriment de leur dignité, il n’y a donc pas de problème pour lui à être un esclave qui lèche sans cesse les bottes de ses maitres pour atteindre son but personnel, ce qui signifie qu’il avale son orgueil et accepte l’insulte qui se pratique sur lui sans problème.
Avec cette logique, il est prêt à tout entreprendre pour que son maître, le général Chengriha, qui le flatte de rester satisfait de lui, afin d’avoir les gains et réalisations qu’il voit entre les mains de son maître, bien qu’il n’ait pas la qualification pour les mériter et ne puisse les obtenir que par des moyens illégaux.
Par conséquent, cher Bengrina, même si vous léchez les chaussures des généraux, vous ne deviendrez pas président de l’Algérie car vous n’avez pas rempli les conditions requises.