Au pays de Mickey, les dictateurs admirent ceux qui remuent leur queue et s’inclinent devant eux, ils auraient même tué ceux qui applaudiraient sans montrer les 32 dents et rajouteraient des cris de « Longue vie aux tyrans ».
C’est-à-dire que tout ce qui se passe dans ce pays, il faut l’attribué aux généraux, même si vous avez donné naissance à un enfant, le mérite revient aux généraux de vous avoir laissé vivre pour avoir des enfants.
En louant toujours les généraux, leurs chefs Chengriha et leurs chiens avec à leur la marionnette et la façade civile, Tebboune, au point d’exagérer en vantant leurs réalisations imaginaires et en gardant le silence sur leur corruption en se concentrant uniquement sur l’éloge de ce régime dictatorial pour avoir des récompenses…
Ces jours-ci, parmi les applaudisseurs de ce régime avec mention très bien et qui ne cesse de secouer sa queue pour battre ses co-frères de l’Est, comme Ahmed Moussa, le « lécheur d’or » et le chien préféré de l’émir du Qatar, Hafid Derradji, qui a profité de l’absence des plus grands hypocrites et lécheurs de bottes de l’histoire de l’Algérie, dont l’un est mort, le propriétaire d’Echourouk, et l’autre en prison, propriétaire d’Ennahar. Et peut-être deviendra-t-il l’un des propriétaires de chaînes pro-gouvernementales des tyrans en Algérie, principalement parce que les nouvelles disent que les généraux lui donneront un chaîne privée spécialisée dans le sport qui deviendra la première chaîne dédiée au sport en Algérie.
D’un autre côté, le vrai reproche des gens libres que tout le monde connaît dans leur intérieur, même s’ils le nient, c’est qu’ils ont rejeté l’injustice et l’oppression et ont refusé de se ranger du côté des généraux oppresseurs et leur lécheurs de bottes.
À l’inverse, ces détenus honorables ont choisi la prison plutôt que de se suicider idéologiquement et de vendre leurs positions aux généraux. Nous les saluant fortement de cette tribune, parce que ce sont des gens comme eux qui créent un avenir meilleur pour les générations futures, et non des mercenaires comme le chien de l’émir du Qatar, Hafid Derradji.