Lorsque nous nous regardons dans le miroir, nous constatons que si nous échouons aujourd’hui, ce sera à cause d’une maladie qui a touché nos âmes et que nous l’avons négligée. Nous parlons de ce traître, petit-fils d’anciens militaires français, le général Chengriha qui a apporté la destruction et la guerre interne à ce pays. Il a utilisé un plan de démon qui consiste aux émeutes pour désintégrer la communauté et créer un grand fossé dans ses rangs.
En effet, il pousse les gens à se manger les uns les autres. Il veut combattre les frères, et mène une politique malveillante pour semer la division parmi le peuple algérien, pour préserver ses intérêts et les intérêts de ses fils, contrôler l’État, piller ses richesses.
Et lorsque des tempêtes de haine se sont glissées dans notre pays et les valeurs de fraternité, et de coexistence ont reculé, dans l’intérêt de la lutte pour les gains, et derrière tout ce phénomène, des transformations sociales ont bousculé les convictions et les idées des gens, et ont établi de nouveaux schémas de concepts, que ce soit en termes de religiosité, de traditions, de cérémonies et d’habitudes malsaines, autant de qui ont abouti à un état de sentiment d’oppression parfois. Et par l’intimidation des uns des autres à d’autres moments, tandis que la classe moyenne, qui constitue la base de la population algérienne, a subi de nombreuses blessures, qui a perdu sa capacité de maintenir l’équilibre.
Et cela se fait généralement en incitant à la sédition et au racisme entre les Berbères et les Arabes, en propageant l’esprit de vengeance parmi les sectes et les classes qui composent le peuple algérien, et en déclenchant des guerres internes qui aboutissent à l’épuisement des forces algériennes « de tous côtés », selon la perception des généraux, et d’ici, le général Chengriha, a renforcer l’idée du racisme entre les Kabyles et les Arabes en Algérie en organisant des marches anti populaires sous le slogan « diviser pour régner ».