Gaid joue aujourd’hui ces dernières cartes pour effrayer les algériens avec sa politique des « menaces étrangères… et de complot » qui a causé des crises énormes au pays. Parce que, avec l’utilisation abusive de cette politique l’a fait perdre son sens et beaucoup de son originalité et surtout de prendre au sérieux ses menaces.
En effet, il est facile maintenant pour tout les gens de découvrir que la plupart des épouvantails que Gaid salah nous fait sortir chaque fois pour effrayer le peuple, sont en fait fabriqués par les généraux eux même.
Et ce qui est étrange dans ce sujet, c’est que certains de ceux qui ont nié les anciens épouvantails font maintenant la promotion des nouveaux épouvantails avec la même façon et presque le même langage.
En outre, la marionnette de Gaid Salah, le président du parti Binaa Al Watani, Abdelkader Bengrina, qui a confirmé sa participation à l’élection présidentielle annoncée le 12 décembre 2019, a fourni une analyse surprenante de la situation en matière de sécurité.
Le premier pion de Gaid salah, Bengrina a mis en garde contre une « attaque imminente » par les forces fidèles au maréchal libyen Khalifa Haftar contre le territoire algérien afin de disperser les efforts de l’armée qui gère la crise interne et que toute attaque éventuelle contre l’Algérie aurait pour but d’empêcher l’Armée Nationale Populaire (ANP) et ses dirigeants de continuer à répondre aux demandes des manifestations populaires.
Il n’est plus acceptable et personne ne va croire ses mensonges qui font peur au peuple afin d’enterrer ses droits et susciter des craintes politiques pour mobiliser le soutien de la société en faveur du rejet d’un État civil.
C’est pour cela nous devons admettre, que nous allons continuer la lutte jusqu’au renversement du pouvoir des généraux ou bien nous arrêtons de chanter nos exploits imaginaires et que nos manifestations sont sans précédent, car si le pouvoir de Gaid salah continue, l’histoire nous rappellera que nous sommes le peuple le plus lâche et le plus stupide connu sur la planète.