Après la fin de la plus grande farce politique de l’histoire de l’humanité et la victoire du menteur Tebboune à la présidence, le débat continue vivement entre l’entourage de la présidence de la République et les faucons de l’armée, notamment sur la question des privilèges que Tebboune accordera à tous les généraux de l’armée après le renouvellement de son mandat pour une seconde période. Jusqu’à présent, la question n’est pas encore tranchée, mais les récents incidents et la dissimulation médiatique autour d’une explosion dans une base militaire de la cinquième région militaire alimentent l’idée d’un conflit en cours entre les faucons au pouvoir dans le pays.
Les événements récents soulèvent des doutes parmi certains généraux du pays quant à l’opportunité d’accorder au clown Tebboune un second mandat présidentiel, au moment où ce dernier a lancé une nouvelle campagne de recrutement de jeunes visages dans l’armée et organisé des réunions secrètes avec des cadres des services de renseignement, quelques jours après l’annonce de sa victoire lors de la mascarade électorale. Il semble que le moment soit mal choisi, car certains faucons de l’armée estiment qu’il n’est pas sage d’accorder à Tebboune un second mandat, craignant de se retrouver dans le même piège que celui dans lequel ils sont tombés lors du mandat du président Bouteflika. C’est pour cette raison qu’une grande campagne d’arrestations a été lancée dans les services de renseignement militaire, qui sont le cœur du système en Algérie. Le siège de la direction des renseignements a été perquisitionné, dix jeunes employés ont été renvoyés de leur lieu de travail, leurs familles ont été déplacées et ils ont été arbitrairement arrêtés, rejoignant ainsi environ 1 300 prisonniers politiques en Algérie. Ils ont ensuite été condamnés hier à dix ans de prison pour des actes susceptibles de porter atteinte à la sécurité et au bon fonctionnement du système, ainsi que pour espionnage au profit de parties étrangères. La rapidité de ce « jugement » et la sévérité de la peine reflètent la nervosité des généraux et leur empressement à accorder à Tebboune un second mandat, ainsi que le mépris envers le citoyen algérien, quelle que soit sa fonction, et le traitement empreint de condescendance et d’arrogance. Cela explique l’arrestation de toute personne opposée au complot de la bande au pouvoir contre le peuple et leurs plans diaboliques pour épuiser les ressources du pays, monopoliser le pouvoir et les richesses du peuple.