Dans notre Algérie ravagée, ce pays des *cinq millions et demi de mensonges*, nous nous vantons d’avoir la plus haute minaret du monde. Oui, c’est ça, l’Algérie accablée : une fierté ridicule qui dépasse l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar et d’autres riches nations musulmanes en matière de… minarets. Pendant ce temps, nous détenons un autre record mondial : celui des files d’attente les plus longues. Du lait, de la semoule, des lentilles, des pommes de terre, de l’eau, de l’électricité, du café, des médicaments… tout ce qui fait une vie décente nécessite ici une humiliation publique quotidienne. Et ne parlons pas des files pour la prostitution ou les perversions sexuelles : elles sont aussi interminables que bon marché. Bienvenue en « Nouvelle Algérie », ce pays où le désespoir est monnaie courante.
Notre nation est, paraît-il, « meilleure que la Suisse » et abrite la « troisième économie mondiale », selon les aboiements du chien des généraux, Tebboune. Mais la réalité cruelle est bien différente : ici, des innocents meurent pour rien. Prenez les habitants du quartier Soumam à Réghaïa, à l’est d’Alger, en direction de Boumerdès. Ces familles vivent un cauchemar, encerclées par le danger d’un réseau d’eau qui fuit depuis deux mois. Résultat ? Des fissures inquiétantes dans les immeubles et un trou béant avalant des quantités d’eau croissantes. Un désastre imminent se prépare, mais personne ne bouge.
Des centaines de familles sont abandonnées à leur sort, terrifiées, coincées dans un quartier déjà meurtri en 2018 par une catastrophe similaire. Selon les habitants, les responsables n’apparaissent que lors des élections présidentielles pour quémander des voix. En revanche, face aux drames, *aucun de ces chiens ne daigne lever le petit doigt*. Voilà la vérité sur l’Algérie : un pays où l’incompétence, l’indifférence et le mépris tuent autant que les catastrophes naturelles.