Un ancien proverbe oriental dit : « La guêpe bourdonne sur la ruine de son nid. » C’est exactement l’état du régime de la bande militaire au pouvoir dans notre pays, avec « Maman France » et d’autres régimes contre lesquels cette bande a déclaré son hostilité, et tout le monde en connaît la raison. Dans un développement soudain qui menace les relations déjà tendues entre Paris et notre pays martyrisé, un ancien diplomate algérien fait l’objet d’une enquête dans une affaire d’enlèvement de l’opposant Amir Boukhors en France. Cet événement met en lumière les relations déjà tendues entre les deux pays. Cette affaire soulève de nombreuses questions et controverses concernant le rôle des diplomates, alors que les autorités françaises considèrent cet incident comme un développement grave, suggérant une possible implication de l’ensemble du ministère des Affaires étrangères dans l’organisation et la supervision de l’enlèvement.
Selon les enquêtes, le diplomate accusé aurait supervisé l’enlèvement de l’opposant youtuber en avril 2024, un incident qui complique davantage les tensions politiques entre les deux parties. Un ancien diplomate a été placé sous enquête en France, soupçonné d’être impliqué dans l’enlèvement de cet opposant vivant en exil. La police française a confirmé que ce diplomate, qui occupait le poste de premier secrétaire à l’ambassade algérienne à Paris, aurait pu superviser l’opération de détention de Boukhors en avril 2024, qui a eu lieu dans la région du Val-de-Marne, selon le journal français *Le Monde*. Commentant cet événement, le politologue français, spécialiste des affaires algériennes, Michel Dufour, a déclaré : « L’enlèvement d’Amir Boukhors constitue un nouvel épisode dans une longue série de tensions politiques entre l’Algérie et la France. » Il a précisé que cette affaire, impliquant un ancien diplomate algérien, pourrait ouvrir la voie à une aggravation de la crise diplomatique entre les deux pays, surtout dans le contexte de la colère française face aux agissements puérils de la bande de généraux.
