Les prix internationaux du pétrole ont chuté de 1%. Les raffineries ont été confrontées à un cas de force majeure et les perspectives de la demande étaient inquiétantes.
Vers 09H45 GMT, le baril de Brent pour livraison en septembre valait 63,72 dollars soit, une baisse de 0,16% par rapport à la clôture de mardi. Alors que, le baril de WTI pour livraison en août perdait 0,47%, pour atteindre 57,07 dollars.
La veille, les stocks de pétrole brut aux États-Unis avaient moins diminué que prévu. En outre, les craintes d’une baisse de la demande augmentent après que certaines données économiques aux États-Unis, en Chine et en Europe ont été plus faibles que prévu. En outre, après le sommet du G-20, les désillusions se sont installées dues aux conflits commerciaux qui restent non résolus. Bien que les États-Unis et la Chine aient accepté de reprendre les pourparlers dans le différend commercial, le gouvernement américain a en revanche menacé de punir l’Union européenne en imposant des droits de douane sur les exportations européennes au début de la semaine. Le contexte est un différend prolongé sur les subventions d’aéronefs interdites.
L’accord du cartel pétrolier OPEP et d’autres États (OPEP +) sur le maintien de la réduction de la production pétrolière mardi n’a pas réduit les inquiétudes. D’où l’impossibilité de maintenir le prix du pétrole et le garder stable. Les 14 pays de l’OPEP et les 10 pays non membres de l’OPEP veulent le biais de plafonds de subvention comme solution provisoire.