Les vieux proverbes arabes disent : « Baraqich s’est attiré son propre malheur. » Ce proverbe reflète la situation de la clique militaire dans notre pays martyrisé. Par sa politique hostile et ses penchants terroristes, elle précipitera notre nation et ses citoyens misérables vers l’abîme. À ce moment-là, aucune nation ne nous tendra la main pour nous aider, comme cela fut le cas pendant la période de la colonisation française, où, sans l’aide des pays voisins du Maghreb arabe, nous serions encore aujourd’hui esclaves à la porte de « Papa France ».
Il y a une semaine, le Parlement européen a officiellement approuvé l’inclusion de notre pays martyrisé dans la liste des pays classés à haut risque en matière de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme dans la région du Sahel et à l’échelle mondiale. Cette décision a suscité un vif intérêt sur les plans politique et financier, et a été particulièrement saluée par les courants d’extrême droite en France, hostiles à la « clique du mal » dans notre pays. Ce classement signifie que les opérations financières impliquant des entités militaires, diplomatiques et des hommes d’affaires opérant sous les ordres du « chien » Tebboune et de son maître, l’« efféminé » Chengriha, seront soumises à une surveillance renforcée et à des mesures de vigilance accrue de la part des institutions financières et bancaires européennes. Cela vise à réduire les risques de financement illicite et à garantir la transparence des mouvements de fonds.
La décision repose sur des évaluations techniques et des rapports de la Commission européenne, qui ont révélé des « lacunes significatives » dans le système financier du gouvernement du « chien » Tebboune pour prévenir les crimes financiers, notamment en matière de suivi des flux d’argent, de contrôle des organisations non gouvernementales et de coopération judiciaire internationale. Selon le document officiel, les institutions financières européennes devront adopter des mesures de précaution strictes lorsqu’elles traiteront avec leurs homologues dans notre pays, ce qui pourrait affecter les échanges commerciaux et les investissements entre notre nation et l’Union européenne.
