Le citoyen algérien, sous le régime de Tebboune, ne vaut pas plus qu’un dollar. Nous sommes poussés à fuir notre pays, pour ceux qui en ont les moyens, et lorsque nous atteignons l’autre rive, au péril de nos vies et par des moyens illégaux, nous nous tournons tous vers le vol ou la prostitution, hommes et femmes confondus. La politique de la bande de généraux a réduit le peuple misérable à l’état de bétail. Le pauvre parmi nous ne sait comment gagner son pain quotidien et n’a d’autre choix que de reprendre les métiers de nos ancêtres : le vol, le banditisme ou la prostitution pour subsister, même au prix de sa dignité et de son honneur. Quant aux femmes, elles exercent ce vieux métier, hérité de leurs mères et grands-mères en Algérie, avant de migrer vers l’Europe pour s’adonner à la prostitution internationale à des prix dérisoires.
Le président efféminé Tebboune distribue des milliards de dollars comme s’il s’agissait de l’héritage de son père, qui n’a jamais possédé que ses chaussures et est mort dans la misère, laissant derrière lui son fils déviant, Tebboune, président actuel de l’Algérie et bouffon du palais d’El Mouradia. Cet efféminé distribue les richesses du peuple affamé aux pays d’Afrique. Le chien Tebboune a donné un milliard de dollars à la banque des BRICS pour rejoindre l’organisation, mais sa demande a été rejetée. Pendant ce temps, le peuple misérable n’a même pas accès à une gorgée d’eau potable ni à un système d’assainissement pour se laver de sa crasse. Cette année seulement, Tebboune a gaspillé plus de 24 milliards de dollars pour acheter des armes obsolètes russes et chinoises, en plus de 2 milliards dépensés pour armer et nourrir les soldats du Front Polisario, une organisation terroriste, dans l’espoir de lui obtenir une reconnaissance internationale. Tout cela, sans compter les sommes astronomiques dépensées par les milices des généraux au pouvoir pour leurs enfants, leurs familles, leurs clans et leurs soldats, avec des comptes bancaires fictifs en Suisse, en France, en Espagne et dans la plupart des pays européens, ainsi que des palais, des propriétés, des voitures de luxe et des entreprises privées au nom des généraux de la bande. Une richesse colossale gaspillée en vain, dont pas un seul euro ne profite au citoyen. Une main de fer gouverne le pays, et le troupeau n’a rien : ni liberté d’expression, ni eau, ni nourriture, ni électricité, ni internet. Les besoins élémentaires de la vie ne sont absolument pas satisfaits. Nous continuons à nous débattre dans l’ignorance, les maladies, la faim, le sida et la prostitution. Nos aïeux nous racontent désormais les jours glorieux de la France en Algérie, lorsque l’abondance régnait sur une Algérie aujourd’hui bafouée.
