L’agent des services secrets des généraux, Bensedira AlSaid, a menacé le peuple algérien de la possibilité de déployer l’armée dans tous les régions de l’Algérie et derrière l’ombre de chaque citoyen pour empêcher le retour des manifestations et faire taire la voix des opposants, en utilisant la force excessive si nécessaire et en massacrant tous le people algérien.
Le plus important, selon lui, est de maintenir et de garder le régime des généraux en place. Sachant qu’il ya deux jours, les autorités des généraux ont lancé une campagne d’arrestations arbitraires qui comprenait des dizaines de manifestants.
Le mercenaire, Bensedira AlSaid, a admis le mouvement populaire (Hirak) et les manifestations qui ont commencé en Algérie à l’occasion du deuxième anniversaire du mouvement, menaçant les manifestants d’utiliser les matraques et le recours à de nouvelles arrestations et d’harcèlement à leur encontre. Bensedira a déclaré sur son propre site Web que quiconque manifestera contre le régime des généraux sera tenu pour responsable même s’il rentre chez lui, il va tomber tôt ou tard entre les mains de la force de sécurité, et il n’échappera pas à la punition, ajoutant que les lieux de manifestations au poste central de la capitale, Bejaia, Oran et Annaba sont sous surveillance et truffés de caméras. Et, il est facile pour les autorités de prendre des mesures à leur encontre.
Soulignant que l’État ne permettra pas à nouveau ce qu’il a qualifié de chaos. En revanche, les autorités ont, jusqu’à présent, nié l’existence des manifestations en Algérie
En fait, les journaux et les médias propagandistes et affiliés au régime des généraux avaient totalement démenti l’existence de manifestations, les deux jours précédents et appelant au départ du président Tebboune, et tout le régime des généraux, en confirmant que ce qui a été publié sur les sites de réseaux sociaux et les chaines Youtube, à propos des manifestations dans différentes villes étaient truqués et anciens, alors que les militants ont confirmé aujourd’hui que les autorités ont arrêté plus de 200 manifestants en deux jours, tandis que les manifestations continuent d’appeler au départ du président Tebboune, sous le slogan «Tebboune est une marionnette des militaires ».
