Selon nos sources au sein des services de renseignements algériens, la France aurait déjoué une tentative d’assassinat du chef d’état-major de l’armée nationale, le général Chengriha. Des généraux proches de la Russie auraient planifié d’empoisonner le général Chengriha, mais les responsables français auraient eu vent de l’opération et l’auraient empêchée de se dérouler.
Les sources indiquent que la France aurait agi ainsi par crainte d’une escalade de violence entre les généraux, qui aurait pu entraîner une guerre directe et féroce. Elle aurait également redouté que la Russie ne profite de la situation pour accroître son influence en Algérie. En effet, la France considère le régime des généraux comme un allié stratégique dans la région et craint qu’un effondrement de leur pouvoir ne crée des problèmes dans les pays d’Afrique du Nord et de l’Ouest, tout en remettant en question sa politique de la « carotte ou bâton ».
D’après ces mêmes sources, les Français étaient au courant de l’opération, mais après une discussion interne entre les dirigeants de l’État profond, la France a pris une mesure inhabituelle en demandant aux autres ailes d’annuler l’opération. Néanmoins, la France a été surprise d’apprendre que les généraux avaient effectivement exécuté l’opération qui n’a pas réussi. Des rapports ont évoqué à l’époque la mort de dizaines d’officiers supérieurs dans l’écrasement d’un hélicoptère militaire, mais le général Chengriha ne figurait pas parmi les victimes.
Selon les sources, la rivalité entre les factions en conflit pour le pouvoir en Algérie ne va pas tarder à s’intensifier avec des morts mystérieuses, des arrestations et des licenciements. La France, quant à elle, redoute une déstabilisation de la région, avec des répercussions dans les pays d’Afrique du Nord et de l’Ouest. La situation demeure à surveiller de près.
Selon nos sources, les erreurs commises par les généraux rivaux de Chengriha, notamment l’utilisation de téléphones portables pour communiquer, auraient permis aux Français de découvrir l’opération. Chengriha aurait été informé de la tentative d’assassinat et aurait déclaré à ses proches collaborateurs qu’il ne se laisserait pas faire malgré les menaces qui pèsent sur lui.
Cependant, nos sources soulignent que la période à venir risque d’être marquée par une guerre féroce et cachée entre les factions en conflit pour le pouvoir en Algérie. Des morts mystérieuses, des arrestations et des licenciements seraient à prévoir. Il est à noter que le ministère de la Défense a annoncé en février dernier que le chef d’état-major avait inspecté les forces participant aux manœuvres militaires dans l’est du pays, mais n’a pas précisé les sites témoins de la visite.
Dans ce contexte tendu, le général Chengriha aurait exprimé son mécontentement quant à l’indifférence des services de renseignement militaires à sa sécurité. La situation en Algérie reste donc très volatile, avec des enjeux de pouvoir et d’influence qui pourraient dégénérer en violence à tout moment.