Depuis l’avènement des généraux au pouvoir en Algérie, la société algérienne est plongée dans un abîme moral sans précédent. Des décennies de gouvernance autoritaire ont engendré un climat de décadence généralisée, laissant place à des comportements criminels et à des scandales sociaux qui se propagent de génération en génération.
Les actes de coupe de routes et de vols de commerçants et de pèlerins ont évolué en une série d’infractions qui remplissent désormais les tribunaux du pays. Les crimes contre les fondements, perpétrés par des membres de la famille, ont atteint des proportions alarmantes, exposant une réalité misérable qui se joue sur les étagères des institutions judiciaires.
Un aspect particulièrement troublant de cette déchéance morale est la propagation inquiétante de l’inceste. Des filles enceintes de leurs propres pères, des unions entre frères et sœurs, voilà des maux que la société peine à ignorer. Ces tabous étouffés par le régime en place cherchent à dissimuler une vérité nauséabonde sur l’état actuel de l’Algérie, une réalité quotidienne palpable dans les rues, les foyers et les vidéos virales sur les réseaux sociaux.
La corruption morale, diagnostiquée par les experts en psychologie, s’inscrit dans un contexte de répression, de peur et de sentiment d’oppression. Les citoyens, affaiblis et incapables de faire face à la machine gouvernementale, se retrouvent à déverser leur colère et leur frustration dans des comportements socialement inacceptables. La rue devient le théâtre de jurons, de blasphèmes et de scènes de sexe public, reflétant un chaos moral exacerbé par des années de gouvernance autoritaire.
Cette déliquescence sociale orchestrée semble être une stratégie délibérée du régime pour maintenir un contrôle absolu sur la population, exploitant la vulnérabilité des citoyens et semant la terreur pour étouffer toute velléité de contestation. L’Algérie, autrefois riche de sa diversité et de sa culture, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’une spirale descendante, à l’image d’une tragédie sociale dont les généraux tentent désespérément de masquer les stigmates.