Chaque fois, des Socialbots, des esclaves hypocrites de l’armé et leur presse de propagande font des déclarations à la fois stupides et bizarres en disant que c’est grâce au général Gaid Salah que l’Algérie, est devenue un État souverain et une puissance régionale politiquement et militairement et que la bande en prison et les services de renseignement français cherchent à influencer la décision algérienne actuellement prise par l’armée par l’intermédiaire de l’état-major parce qu’ils sachent que Gaid Salah n’a pas de relations avec la France et ne sert pas ses intérêts économiques, culturels et politiques. Par conséquent, sa supervision du processus de préparation de l’élection d’un nouveau président algérien lors de la prochaine étape ne sera pas en faveur de la pieuvre française, qui ne favorise pas la transparence politique et veut avoir des projets qui sont déjà entre les mains des entreprises algériennes.
Cependant, la société française de grands travaux publiques « GTP CAN » a déclaré que les plus hautes autorités du pays lui avaient confié un projet que l’ETRHB était censée réaliser pour son propriétaire, l’homme d’affaires Ali Haddad, qui purge actuellement une peine de prison pour corruption.
Outre, la société a annoncé l’octroi d’une concession de plus d’un demi-milliard de dinars pour renforcer les flancs de montagne et conforter les talus de la route nationale, construite par l’administration coloniale au creux des gorges de Kherrata.
Ce projet, comme indiqué par la société, est pour la modernisation de la route nationale n°9 (RN9). Le montant déclaré pour la réalisation de ce projet est de 563 millions de dinars (Dieu seul sait le montant exacte de ce projet et le montant passé aux généraux en dessous de la table).
Après avoir perdu, il y a quelques jours, le projet de réalisation de la piste principale de l’aéroport d’Alger, le Groupe ETRHB de Ali Haddad, devant une autre société française, le groupe perd également le projet de la modernisation de la route nationale n°9 (RN9). Il semble que les entreprises françaises obtiendront de grands privilèges sous le règne du roi de l’Algérie le dictateur, Gaid Salah, qui combat tout ce qui est français sous le slogan » badissia n’est pas parisienne ».