De nombreux experts ont révélé que “l’axe du mal” dirigé par la Russie utilise toutes les cartes possibles pour isoler la France et l’Europe, en particulier les ressources fournies par le régime des généraux algériens. L’une des cartes majeures à leur disposition est la grande diaspora algérienne en France, dont une majorité possède la nationalité française.
Des enquêtes approfondies ont mis en lumière un réseau complexe d’agents et d’influenceurs algériens, recrutés par le régime militaire, visant à déstabiliser la France et les pays européens à travers des actes d’espionnage et des appels à perturber l’ordre public et social. Les rapports indiquent comment le régime des généraux exploite le sol français pour mener à bien ses agendas politiques alignés avec l’axe russe, en recourant à des réseaux diplomatiques et à des institutions religieuses françaises. Selon la presse européenne, les dirigeants algériens considèrent la France comme un point stratégique pour mener des opérations contre plusieurs pays occidentaux.
D’après les témoignages d’opposants au régime vivant à l’étranger, le régime militaire algérien a constitué une menace sans précédent en recrutant un réseau d’influenceurs et d’agents en France. Récemment, la France a expulsé de nombreux influenceurs algériens de manière définitive, et il a été révélé que cette décision n’était ni aléatoire ni spontanée, mais faisait partie d’une stratégie à long terme. Les autorités françaises avaient surveillé de près ces individus, qui bénéficiaient d’un soutien direct des consulats algériens en France et se réunissaient au sein de la Grande Mosquée de Paris.
Les enquêtes ont révélé que ces réseaux opérant en France se déploient à travers des canaux tels que les consulats et la mosquée parisienne, et on estime que près de 150 agents sont répartis sur une vingtaine de consulats. Cela met en lumière l’utilisation par le régime militaire d’endroits sensibles pour transmettre ses messages politiques, organiser des campagnes de propagande et semer la discorde, à l’image des actions habituelles du régime en Afrique de l’Ouest, allant jusqu’à la région du Sahel et même jusqu’au Nigeria.
