Dans notre pays en dictature, dirigée par une bande de généraux de l’armée, l’établissement militaire (l’armée) contrôle le pouvoir, de sorte que le peuple algérien est sorti d’une manière civilisée et pacifiques pour exiger la chute de l’État militaire et pour l’établissement d’un État civil qui nous rassemble tous. Mais l’État des généraux a décidé de contourner les exigences du peuple et d’amener un nouveau chien (Tebboune) pour le mettre en tant qu’interface de la gouvernance dans le pays …Et puisque cela ne suffisait pas, car ce chien (Tebboune) a mis en place une nouvelle constitution sur la taille des généraux, le général Saïd Chengriha a béni cette constitution, qui a été considérée par plusieurs experts comme une balle de miséricorde sur la mise en place d’un état civil et non militaire dans notre pays.
Et renforcer la fidélité à l’État militaire, ainsi le premier et le dernier mot sera pour les généraux qui sont à la tête de cet établissement militaire et pour qu’il n’y ait pas de place pour la passation du pouvoir en Algérie et le peuple libre de choisir son leadership politique à travers les mécanismes électoraux. Ainsi le peuple ne décidera pas de son propre destin. Au contraire, cela sera confisqué et la décision politique sera dirigée en fonction de la volonté des chefs militaires qui détiennent le pouvoir. L’autorité appartiendra à ceux qui détiennent le pouvoir et ce sont les généraux des militaires qui possèdent des armes et qui possèdent cette force « matérielle » qui détermine non seulement la nature des décisions politiques, mais aussi économiques et sociales.
Bien que les généraux algériens cachent le régime militaire, en plaçant leur chien, Tebboune qui est un civil, à la tête du pouvoir.