Sur ordre de Macron, les dessous de la visite du ministre algérien des Affaires étrangères au Mali

Après que le chien des généraux, Abdelmadjid Tebboune, ait reçu un appel téléphonique de son maître, le président français Emmanuel Macron, concernant l’évolution de la situation au Mali, le président français a ordonné à son serviteur Tebboune de voir les mécanismes des nouveaux dirigeants au Mali et si les intérêts de la France ne seraient pas affectés par ce qui s’est passé …
Dès lors, Tebboune a envoyé son caniche renifleur, Sabri Boukadoum, pour une visite à la capitale Malienne, Bamako, pendant une journée afin de recueillir suffisamment d’informations et tout ce que les nouveaux dirigeants veulent faire. Et pour comprendre les dimensions de cette situation et la demande de la France pour que les généraux harkas en Algérie jouent les sales rôles en Afrique de l’Ouest, nous pouvons voir une déclaration faite il y a quelques jours par l’un des nouveaux dirigeants du Mali qui a dit : « C’est assez! L’indépendance financière n’est rien de plus qu’une simple formalité, car nous ne pouvons pas parvenir à une véritable indépendance tant que nous ne nous dirigeons pas vers l’obtention de nos droits souverains dans les domaines économique et social et l’expulsion des agents coloniaux ».
On peut donc dire que la peur de la France de perdre de l’espace dans la région ouest-africaine autour de laquelle un conflit majeur fait rage entre la Chine, l’Amérique et la Russie, les nouveaux acteurs et avec les signes de changement dans la région ont poussé Paris à appliquer des méthodes immorales actualisées avec les stratégies de la nouvelle génération de colonialisme en exploitant des agents et des traîtres comme Tebboune et Saïd Chengriha pour créer un chaos organisé en Afrique de l’Ouest et renvoyer 14 États membres africains de la région du franc CFA entre les bras de Mama France.