Au milieu de la campagne de meurtres et d’arrestations menée par le régime des généraux contre les citoyens libres, l’avocat Farouk Ksentini nous a annoncé que la Cour suprême pourrait annuler la peine de prison contre son client, le criminel et le voyou, l’ancien directeur des renseignements, le général Toufik, et lui accorder l’innocence, et ce n’est pas étrange dans un pays gouverné par des homosexuels et dirigé par les garçons de la France et les EAU …
En fait, la corruption du système judiciaire signifie la corruption du gouvernement, la corruption de la politique, la corruption de l’économie, les investissements et le commerce, la corruption de l’éducation et des éducateurs, la corruption de la société, la perte de moralité et la désintégration des familles. Parce que l’entité qui est censé préserver les droits, protéger les personnes et protéger leurs biens et leur honneur ainsi que l’établissement de l’équilibre entre la justice et la loi, s’il est corrompu, elle perd sa place et son prestige et elle va devenir un foyer d’injustice, de mensonge, de favoritisme et de corruption, et par conséquent une cause de corruption d’autres institutions et établissements de l’État. Ainsi les personnes qui ont une immunité contre la justice et du pouvoir judiciaire peuvent abuser de leur travail et de l’exploité au maximum sans être puni, tant que le prix du juge est connu et qu’il est facile de l’acheter pour quelques dinars.
En effet, si la corruption du pouvoir judiciaire est amplifiée par la corruption du système politique, celui-là recherche un pouvoir judiciaire corrompu comme lui pour dissimuler sa corruption et l’innocenter de toute accusation, et à travers la réalité vécue, le pouvoir judiciaire en Algérie est corrompu, malheureusement, ce qui a frustré les gens et les a conduits à la conviction qu’il est impossible d’obtenir leurs droits en recourant à la justice.
Les élections sont souvent organisées sous les auspices de l’institution judiciaire, les ressources de la nation sont vendues, et ses institutions sont privatisées avec des accords commerciaux corrompus et sous les auspices de l’institution judiciaire également. Alors, comment poursuivre une personne corrompue dans son institution judiciaire, ou comme l’a dit le général Hamel en s’adressant à ses partenaires (Tebboune et Chengriha) à propos du vol de la richesse de l’Algérie : « Le corrompu ne peut pas lutter contre la corruption ».