En Algérie seule la façade change, le feu vert pour la corruption est considéré comme général.
En effet, le gaspillage des fonds publics qui coûtent à la trésorerie générale des Milliards d’euros, est considère comme une Sunna confirmée par tous les généraux qui dirigent le pays.
Des centaines de cas de dilapidation de l’argent des algériens sont notés, dans des projets dont le besoin n’a apparemment pas été déterminé ainsi que le manque de contrôles, entre autres, les flops économiques, l’épouvantable stratégie et la mauvaise gestion de la part des hauts responsables et anciens chefs d’entreprise lié au régime des généraux
Malgré les avertissements, les alertes, les directives et les chiffres scandaleux signaler dans les rapports officiels, les procédures légales et injonctives contre ces responsables corrompus reste insuffisante et même sans poids par rapport à l’ampleur de la corruption, du chaos et des troubles qui imprègnent de nombreux comptes de nos institutions publiques. Alors dans quelle mesure les rapports officiels sont-ils crédibles, s’ils restent seulement noir sur blanc sans mise en œuvre ? Quelle est la valeur des rapports, des déclarations et des audits, s’ils restent dans les tiroirs jusqu’à ce qu’ils disparaissent dans les archives et soient oubliés?
En fait, se sont des scènes de comédie réalisé par les autorités afin d’absorber la colère des algériens libres et stopper le Hirak, puisque la lutte contre la corruption est devenue un mythe fondateur en Algérie.
Le dernier cas scandaleux de gaspillage et de détournement de fonds a été révélé par Kamel Rezig, ministre du Commerce, lors de sa visite à la Wilaya d’El Bayadh, alors que 625 marchés sont fermés à travers le pays après que des milliards aient été dépensés pour les construire, soulignant que son ministère a décidé d’arrêter de tels projets à l’avenir mais sans aborder le sujet de la poursuite judiciaire de ceux qui ont gaspillé ces milliards et les voler en abusant du pouvoir.