Le référendum pour la nouvelle constitution des généraux a été témoin d’une grande division au milieu politique entre ceux qui préféraient se rendre aux bureaux de vote et accompagner leurs photographes pour prendre des photos et des vidéos à la manière d’Abdallah Djaballah et d’autres qui se sont abstenus de voter tandis que certains d’entre eux évitaient de donner leurs opinions même à travers leurs comptes sur les réseaux sociaux.
Tandis que d’autres ont tenu à montrer leur forte fidélité aux chaussures des généraux en prenant des photos spécialement pour eux et des Selfies pour immortaliser l’événement malgré la présence de plusieurs photographes couvrant l’événement …
Alors que le taux mince de la participation au scrutin des généraux dictateurs est perçu comme un référendum sur l’ampleur du soutien populaire à la politique des généraux dans de nombreux dossiers en rapport avec la politique intérieure et extérieure, les cheikhs du sultan, comme le chef du Front de la justice et du développement, Abdallah Djaballah, a déclaré que la participation au référendum est un devoir religieux pour tous les Algériens, mais après la fin de cette mascarade à laquelle il a participé, Abdallah Djaballah a appelé le pouvoir en Algérie d’annuler les résultats du référendum sur le projet d’amendement à la constitution.
En effet, Djaballah a déclaré dans une vidéo qu’il avait publiée sur sa page Facebook qu’environ 87% des Algériens avaient rejeté le projet d’amendement à la constitution, que ce soit par boycott ou non. Il a expliqué que ce groupe avait pris conscience de l’étendue des dégâts et du danger impliqué dans ce projet. En ajoutant que ce qui est exigé du système existant est d’annuler cette constitution, compte tenu du pourcentage élevé des non-participants.
Djaballah a appelé le régime à répondre à la position de la majorité de la population, qui représente les trois quarts de la population. Et a de nouveau souligné les dangers de la constitution pour la souveraineté, l’identité et la religion.
Honte à toi, Djaballah, ces dangers n’étaient pas connus quand tu as demandé aux gens de participer à cette mascarade, en effet, si tu n’as pas honte, alors fais ce que tu veux.