L’armée algérienne ouvre le feu sur les manifestants dans le sud du pays alors que la situation a dégénéré

Le régime des généraux qui considère notre pays un prison au ciel ouvert, a montré un style de brutalité et de violence pour disperser les manifestations en ouvrant le feu et en utilisant des balles réelles sur les manifestants à Ouargla, descendus dans la rue pour rejeter la décision sévère et injuste contre le militant Amer Karach.
Les militants demandeurs d’une Algérie moderne, civile et libre sont régulièrement accusés de trahison et de terrorisme, ils sont punis par les procédures judiciaires taillés par le régime militaire qui fabrique de fausses accusations contre eux.
De ce fait des célèbres militants sont considérés par les généraux des opposants qui visent à secouer la stabilité du pays et menacent l’existence de leur long règne illégitime; ont été traduits en justice pour des raisons non liées aux manifestations …
En fait, Amer karach n’était pas le seul Algérien à faire l’objet de poursuites judicaire pour la liberté d’opinion. Des dizaines d’autres activistes ont été arrêtées et torturé dans des cellules sombres pour d’étranges chefs d’accusation uniquement parce qu’elles figuraient parmi les noms connus dans les manifestations pacifiques.
Les militants et les journalistes qui critiquaient le régime des généraux ont fait face à une répression croissante depuis le soulèvement de 2019, mais ils ne sont pas les seuls visés par ce type de condamnation.
Les manifestations du sud algérien, qui faisaient rage suites aux crimes contre l’humanité et aux massacres commis par l’armée contre les habitants de cette région, en raison de leur l’extraction de l’or pour déclencher les manifestations, alors que les manifestants s’opposaient à la politique de marginalisation menée par les gouvernements algériens successifs dans le sud depuis des décennies, des manifestations rejetant l’exploitation du gaz de schiste et d’autres rejetant la politique de l’emploi et réclament la dégradation des conditions de travail et demandent le développement, entre les deux, ces dernières années, le sud de l’Algérie a vécu sur un cratère volcanique politique qui annonce une proche explosion de la situation.