Par peur, peu de gens libres s’opposent aujourd’hui au régime des généraux corrompus et pourris. Refusent de s’incliner et choisissent de dire non à voix haute. Le mot « non » a un sens très fort face à un régime répressif et tyrannique qui défend son règne illégitime par le fer et le feu, et l’intimidation, la désinformation et la tromperie pour régner sur Algériens et pour réserver ses dirigeants tyranniques qui font des ravages et provoquent le chaos dans le pays.
En effet, les généraux en Algérie épandent la corruption, les pillages, les vols des biens, et les ressources du pays sans contrôle ni responsabilité, répandant l’immoralité, la sodomie et installent toutes sortes de pratiques pour humilier et insulter les citoyens et en faire leurs esclaves…
On a marre de ce régime d’homosexuels, corrompus et pourris, de ses partis, de honte et de disgrâce, de ses savants hypocrites lécheurs des bottes des généraux. On dit non à la nouvelle constitution conçue par un régime sans démocratie et sans liberté d’expression.
Ce régime est considéré comme l’un des régimes dictatoriaux avancés dans le domaine de la répression, de la torture.
En fait, l’Algérie est en guerre, une guerre très dure que le régime mène contre son propre peuple, et l’histoire témoigne. Alors que la décennie noire a connu des enlèvements, torture, meurtre et fraude aux élections, et encore aujourd’hui, à l’ère des maudits homosexuels, le général Chengriha, qui n’est pas différent du tueur général Toufik que par des manœuvres militaires stupides ici et là.
Ce n’est pas un secret pour personne comment la junte militaire des généraux s’empare de l’économie, de la richesse et de la propriété du pays à travers de grandes sociétés dirigées par des membres de leur famille afin que les sociétés des généraux ne paient pas leurs impôts et à cause de cela, et en en moins de dix ans, 1 000 milliards de dollars se sont évaporés et les généraux se sont transformés en milliardaires à une époque où la plupart des segments de la population vivent dans la pauvreté, le sous-développement et la marginalisation, il est devenu difficile pour le régime corrompu et pourri des généraux de contrôler le lavage de cerveau des générations montantes à travers ses informations accablantes (Ennahar, Echorouk, Al-Hayat et El-Bilad).