Cheikh Ali Belhadj, les dernières victimes du régime des généraux

Il semble que le « Bajingo » du régime des vieillards en Algérie s’exposait de jour en jour et ses secrets malveillants ont été de plus en plus exposés à l’opinion publique nationale et internationale.
Si l’on se souvient de la dernière interview de Tebboune, le clown, où il parlait de l’inexistence de prisonniers d’opinion en Algérie sur les chaînes locales, et celui qui dit cela ment le mensonge du siècle. Mais après quelques jours de cette déclaration plein de mensonges et de charlatanisme, le prédicateur Cheikh Ali Belhadj a été arrêté et jeté dans des camps de détention alors qu’il n’a dit que ce qu’il pensait de la question d’El Tarf. Il n’a pas porté d’arme ni monté dans un tank pour attaquer le palais d’El Mouradia. Quelques mots seulement ont été une bonne raison pour que la gang maléfique le jette en prison.
Cheikh Ali Belhadj est l’un des ardents opposants au régime militaire en Algérie et ce n’est pas sa première arrestation.
Cheikh Ali Belhadj a déjà exprimé son opinion sur la question du Sahara Occidental. Il a dit que les généraux ont mêlé l’Algérie dans une affaire qui ne les concerne pas ni de près ni de loin.
En effet, le Sahara occidental fait partie intégrante du territoire marocain, et cela est prouvé par des preuves historiques et géographiques. Tindouf est également un territoire marocain tandis que les généraux veulent voler l’argent et les richesses des Algériens sous couvert du Sahara Occidental.
Après avoir arrêté le vieil homme pendant plusieurs années et l’avoir jeté derrière les barreaux, et lors de la dernière élection présidentielle, le cheikh s’est présenté aux élections comme tout citoyen honorable. Ce qui ne plaisait pas aux généraux craignant que le scénario des années 1990 se répète lorsque les Frères musulmans en Algérie ont remporté les élections par un vote populaire écrasant. Les vieillards ont ouvert la porte de l’enfer et de la mort à la confrérie et au peuple algérien. Ils ont fait l’irréparable et tué injustement plus d’un quart de million de citoyens algériens.
De plus, le fait que le cheikh soit si populaire dans le pays lui garantit l’immunité contre le meurtre et la trahison, car si le cheikh est soumis à un souci, je ne pense pas que les descendants du prince Abdelkader se tairont.