Les étudiantes qui résident dans la résidence universitaire populaire ont exprimé leur insatisfaction concernant les conditions de vie désastreuses dans lesquelles elles se trouvent. Les étudiantes se plaignent de l’absence de chauffage et de la qualité médiocre de la nourriture. Elles ont demandé une intervention immédiate des responsables pour améliorer ces conditions qui ont un impact négatif sur leur vie quotidienne et leur parcours universitaire.
Les étudiantes ont sollicité l’aide du directeur des services universitaires pour résoudre rapidement les problèmes qui les affectent, notamment le manque de chauffage dans leurs chambres. Les étudiantes concernées ont exprimé leur mécontentement face à la détérioration des conditions qu’elles ont qualifiées de tragiques, alors que le pays est considéré comme le premier exportateur de gaz en Afrique. La situation est due à l’absence de chauffage central, qui a transformé leur nuits en cauchemar, avec des chambres qui se transforment en réfrigérateurs en raison des températures glaciales. Les étudiants se demandent pourquoi les personnes responsables ne peuvent pas faire marcher le chauffage central pour soulager leurs souffrances.
En plus de cela, les étudiantes se plaignent de la qualité de la nourriture, qu’elles qualifient de médiocre, et soulignent la nécessité d’améliorer la qualité des repas servis dans les restaurants universitaires, qui ne méritent pas d’être consommés même pour les animaux, selon elles. Les étudiantes ajoutent que la malnutrition est due à la mauvaise qualité des matériaux et des produits alimentaires utilisés.
En raison de cette situation misérable, les étudiantes se sont vues obligées de recourir à des actes controversés tels que fréquenter les clients qui errent sur le campus pour passer des nuits rouges avec eux gratuitement en échange de chaleur et de nourriture, simplement parce que la nouvelle Algérie ne peut pas les fournir.