Les candidats à la présidentielle qui sont en fait d’excellents comédiens dans la pièce théâtrale de la présidentielle en Algérie réalisée par leur patron le chef de bande et le dictateur Gaid Salah, sont les plus grands hypocrites d’Algérie. Car ils présentent tous les signes d’un vrai hypocrite. Exactement, comme il a dit le Messager d’Allah Mohammed que la paix soit sur lui: « Les signes distinctifs de l’hypocrite sont au nombre de trois : lorsqu’il parle il ment, lorsqu’il fait une promesse il ne la tient pas et lorsqu’on lui confie un dépôt il le trahit».
En pratiquant la politique, Ils répandent le mensonge, l’abus de confiance et les fausses promesses. Ce n’est pas la politique qui les a motivés pour le faire, mais plutôt leurs buts et intérêts personnels qu’ils ont utilisés pour l’atteindre. Ainsi ils sont des politiciens hypocrites. Donc selon eux, pour réussir en politique, vous devez maîtriser l’hypocrisie et savoir être hypocrite.
Les chiens de Gaid Salah, les cinq menteurs sont toujours prêts à répondre à toutes les questions et à faire des promesses généreuses car ils ont des capacités rhétoriques qu’ils ont déjà apprises. Ils sont entraînés à s’approcher du l’électeur, et lécher ses mains et son front et peuvent saluer même les imbéciles et les fous.
En outre, nous voyons le candidat au présidentiel sourire face à tout le monde. Celui qui le rencontre il le prend dans ses bras, comme s’il était un bon ami dans une série électorale avec des programmes qui servent d’appât à un électeur hanté par un changement de sa vie quotidienne. Et l’a fait victime de fausses promesses, comme cela arrive aux assoiffés dans la désertion s’il tend la main à un mirage, car le candidat qui devient président échouera plus tard à tenir ses promesses, et une fois que le candidat gagne, il disparaît de la vue et prend la fuite.
Il traite son électeur comme un galeux indésirable en arrêtant toutes communications avec lui et peut-être même changer son lieu de résidence.
Avec les promesses répétées de plusieurs partis et politiciens de toutes les directions, les électeurs commencent à perdre confiance dans le processus politique dans son ensemble, comme en témoignent les faibles niveaux de participation aux élections et la baisse du taux de confiance des citoyens envers les politiciens et le processus politique, même si le dictateur Gaid Salah a voulu décorer la pièce avec un faux débat plein de mensonges.