En Algérie la famine frappe à la fois les pauvres et les classes moyennes en raison de la hausse excessive et démesurer des prix des denrées alimentaires pendant ce mois de Ramadan.
Les Algériens se plaignent de la spéculation qui envahit la plupart des marchés, puisque de nombreux produits sont retiré du marchés nationaux pour être vendus plus tard aux marchés noirs, et les gens qui ont hâte à préparer la table de la rupture de jeune sont obligé d’acheter les marchandises imposées par les marchands qui exercent la monopolisation des marchandises qui prétendent vendre puisqu’ils ont acheté cher et qu’ils sont aussi victimes de réseaux qui contrôlent les opérations d’approvisionnement.
En outre, on constate que ce phénomène se répète chaque Ramadan. Les spéculateurs font flamber les prix, ce qui augmente la souffrance de l’Algérien, dont le pouvoir d’achat a diminué au cours des six dernières années à environ 40%, selon les statistiques de l’Institut national de la statistique.
La majorité des Algériens ont évoqué avec étonnement la propagation de tels phénomènes pendant ce mois sacré, demandant aux autorités d’intervenir pour protéger la population vulnérable qui a été soumise ces dernières années à un processus systématique d’appauvrissement et de famine.
En revanche, et dans un jeu vieux et ennuyeux, les autorités affirment qu’elles surveillent les prix et affrontent les spéculateurs et les contrevenants, et qu’elles ont recruté des centaines d’observateurs économiques dans tout le pays pour réduire le phénomène de monopole et de fraude, mais la réalité c’est qu’Il y a une grande pénurie de produits alimentaires, dont nos sources disent que la plupart des produits alimentaires ont été fournies à titre de subvention au Mali et au Niger, ou ont été exportées vers la Mauritanie, et ici les généraux posent le peuple algérien devant deux options, mourir de faim ou le carnage, comme cela s’est produit dans la décennie noire.