Au pays des généraux, les droits du responsable voleur sont au dessus de ceux du peuple qui été volé et les droits du fils du général criminel sont au dessus de ceux de sa victime. Tout simplement parce que ceux qui légifèrent sont des corrompus et des tueurs qui sont protégés par un pouvoir judiciaire comme eux. C’est pour cette raison, on doit faire des manifestations devant les maisons des juges corrompus pour envoyer un message claire pour leur dire que le corrompu protège le corrompu au lieu de le punir. Par conséquent, le pillage des fonds publics se poursuivra jusqu’à ce que le trésor public de l’Algérie soit vidé. À cet instant, de nouvelles taxes seront promulguées sur le pauvre, l’employé et le retraité…
C’est un message fort de Lakhdar Bouregâa qui veut dire qu’en Algérie, le corrompu est protégé par le corrompu comme lui plutôt que d’être jugé.
Par conséquent, le pillage de l’argent public se poursuivra jusqu’à ce que le Trésor algérien soit vidé. Ainsi les généraux au pouvoir vont adopter de nouvelles taxes sur les pauvres, les employés, les retraités qui soufrent déjà de la pauvreté.
Dans le pays des généraux en Algérie, Il n’est pas permis d’emprisonner un responsable voleur parce que cela est contraire à la loi en Algérie, le pays des généraux algériens. Et le responsable meurtrier ou corrompu s’échappe toujours à l’extérieur de l’Algérie avant d’être condamné ou on l’aide à s’échapper de la prison ou bien il est libéré tout simplement.
Les fils des généraux professent leur corruption et leur vole de l’argent public sans avoir peur de la justice parce que le pouvoir judiciaire les protège faute de preuves. Le jugement de la justice des généraux se fait par contumace car on informe le criminel avant qu’il ne soit condamné pour prendre la fuite.
En Algérie pays des merveilles, Saïd Chengriha, passe des accords de plusieurs milliards de dollars avec des entreprises pour acheter des armes, tandis qu’une fraction des terroristes vivant dans le désert n’a pas été éliminée depuis l’époque des dinosaures.
Outre, les parties promettent le bien et la bénédiction aux jeunes et les exhortent à revendiquer leurs droits et à ne pas garder le silence alors qu’ils sont les premiers à mettre le poison et les contraintes dans leur avenir.
Les généraux dictateurs ont arrêté le temps en Algérie pour le fixer aux années 1990, puisque quiconque se rendant en Algérie il va penser être à l’ère de la guerre froide. C’est pour cette raison il faut se débarrasser d’eux ainsi que leurs anciens et nouveaux partis par tous les moyens, y compris des manifestations et des sit-in près de chez eux pour les assiéger. C’est ainsi, Ils sentiront notre colère et se retireront avant que nous mettions en place un tribunal public dans les rues d’Algérie. En effet, imaginez l’exécution de généraux meurtriers et corrompus sur les places publiques, vous aller ressentir le flot de liberté de tous les côtés.